Jenny me tend la main et me dirige vers sa chambre. Nous rentrons dans la pièce et elle me présente ses photos de photos de famille, je reconnais qu'elle cherche à ce que je la connaisse un peu mieux et tout ça devient assez intime comme conversation. Elle me partage des anecdotes et nous rions ensemble. Elle décide mettre un vinyle pour ajouter de l'ambiance. Moi qui croyais pouvoir rester assis sur le lit elle me prend les bras, elle les balances pour que je commence à danser au même rythme qu'elle et que la musique puis finalement tente de me lever pour que je danse mais elle tombe sur mon torse, elle rit et je ris puis nos regards se croisent, elle se redresse automatiquement, éteint la musique.- Ça va? Tout va bien? Dis-je.
- Oui oui, je t'assures ne t'inquiète pas. Dit-elle en prenant des vêtements et une serviette dans sa commande et ses tiroirs. Je pars prendre ma douche.
- D'accords.
...
Il y a maintenant un bon moment que Clara est dans la douche, je me lève pour aller voir ce qui se passe et je frappe à la porte.
- Clara tout va bien?
La porte s'ouvre et Clara tient sa serviette.
- Tu veux venir? Dit-elle.
- Je peux? Dis-je.
- Tu veux? Dit-elle. Écoute je vais t'avouer que tu me plaît bien, alors... Dit-elle.
- Tu me plaît aussi. Dis-je.
J'entre dans la pièce, sa serviette tombe et nous nous embrassons. Je ferme la port en la rabattant d'un mouvement donné du bout des bras et la porte se ferme, je la verrouille et Clara m'emmène sous la douche avec mes jeans et mon chandail à manche courte de coton. La couleur pâle du chandail révèle bien mon torse et elle me regarde droit dans les yeux, elle dénude mon âme et elle lis à travers mes yeux. Nous nous sentons connecté, un sentiment de boule de coton vient sauvagement se brasser dans mon ventre et je tremble d'excitement. Clara me regarde et glisse sa main dans mon jeans et voit que j'ai une érection, elle abaisse le jeans mouillé puis me regarde dans les yeux, je la regarde et je descend tout doucement en l'embrassant pour y faire un cunnilingus, au contact avec ma langue avec sa région pelvienne un frisson lui monte dans le bas du dos, je la fixe droit dans les yeux, d'un regard fortement engagé, je me met à l'action, ses doigts e crispe contre la céramique, ses ongles érafle la surface brillante et lustrée des tuiles et je la regarde toujours droit dans les yeux. Je retire mon chandail tout trempé que je lui met sur les yeux avant de me rapprocher à son oreille pour lui chuchoter quelques mots
- Dis-moi quand c'est suffisant.
Elle frissonne et je l'embrasse dans le coup, je laisse jouer mes doigts délicatement en elle et sa respiration s'exalte, elle me sert fort l'épaule et me chuchote à son tour
- C'est tout ce que t'es capable de faire? J'en veux davantage
- Tu veux je te fasse quoi? Chuchotai-je.
- L'amour.
- Allons chez dans ta chambre.
Clara tend doucement ses bras autour du cou de Karl et elle se met à l'embrasser, Karl la soulève pour qu'elle s'agrippe à lui et se dirige vers la chambre. Il s'installe sur le lit et Clara s'y laisse rebondir sur le matelas. Les deux s'embrassent langoureusement. Clara le regarde droit dans les yeux un instant, Karl de ses yeux perçant se laisse s'y noyer avant de doucement laisser défiler tout doucement ses doigts depuis la poitrine de Clara pour s'y diriger vers sa région pelvienne. La gorge de Clara se noue et Karl le remarque.
- Embrasse-moi Clara.
- Karl..Karl l'embrasse et Clara est réticente et Karl se recule.
- J'ai fait quelque chose de mal, je t'ai fais mal? Dit Karl
- Je me croyais prête mais j'ai encore un peu peur.
- Ça me dérange pas d'attendre, tu me plaît et il y a pleins d'autres moyens pour avoir du plaisir ensemble.
- Comme quoi? Fit-elle.
- Parle-moi de toi, t'aime faire quoi pour rire et avoir du plaisir?
- Regarder des vidéos de gens tomber.Les deux se mettent à rire et Karl fini par tout doucement cesser de rire, il la regarde sourire et rire puis se perd dans ses pensée. Ce qu'il ressent est comme un doux poison, t'as la sensation agréable d'avoir le coeur qui se balance mais tu as aussi la sensation irritante qu'il se pique à des épines chaude et acérées. Il a la tête qui perds la notion du temps, l'âme est submergé d'une mère saline qui lui vaut ressentir une amère sensation de peur, l'aigre sensation de la perte et la douce pensée de l'union. Son esprit se laisse emporté par des vagues et s'y perd, comme un jeune homme qui aurait perdu quelqu'un de cher en pleine mer ou en pleine folie. Soudainement on frappe à la porte.
- Clara, la soeur de Karl le cherche tu ne l'aurai pas vue par hasard? Fit la mère de Clara depuis l'autre côté de la porte, ses mots sont étouffé par la porte.
Karl se mit à s'habiller le plus rapidement possible.
Sa tête se mit à divaguer comme s'il voulait fuir une île déserte depuis un vieux radeau en copeaux et de plastique dans une mère agitée.
Finalement sa mère s'éloigner. Il adresse un regard à Clara qui semble tenter de se couvrir avec la couverture malgré son sentiment de mal aisance. Karl de nature attentionné décide d'aller la voir. Il lui tend ses vêtement et tente de l'aider à se rhabiller.
- Merci Karl, t'es vraiment différent, t'es gentil et tu es honnête à travers tes attentions. C'est rafraîchissant d'avoir rencontré un garçon comme toi. Je suis reconnaissante.
- Ah, et bien, merci. Je t'apprécie et je prend soin de ceux qui me porte sur le coeur.
- Merci Karl, ta copine sera aux anges.
Karl la regarde un instant, surpris de cette déclaration.
- Mais c'est toi que j'aime Clara.
Il aurait bien aimé lui glisser ses mots mais cette fois, le courage n'a pas su encore faire preuve de ponctualité sur le moment où il aurait été libérateur de donner des ailes à ces mots pour Clara.
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Rougir ou souffrir
RomanceKarl Mayer, un indomptable adolescent de dix-neuf ans se voit tomber en amour avec sa voisine, nouvellement déménagée. Il nouera un lien terriblement profond qui lui vaudra l'envie de se rapprocher d'elle, mais comment ne pas briser cette amitié alo...