Désolé si vous trouver ce chapitre plutôt triste, mais il me sert un peu comme un confident à mettre un peu mes états d'esprits donc si vous préférez ne pas le lire, c'est compréhensible...
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Pdv de Joanna :
Aimer... c'est une façon différente de voir une personne, mais c'est aussi un immense mensonge. Qui peux nous promettre que ce si simple sentiment vont forcément être partagé ? Personne, et même si les deux parties venaient à éprouver ce même sentiments, la mort viendrais tôt ou tard s'y mêler...
Mieux ne pas se mentir, cette phrase prouvant sois disant elle même cet sentiments, et une simple illusion... "Je t'aime" qui peut vraiment se venter d'avoir à tout jamais penser ces simples mots..? c'est si facile de mentir avec, de jouer avec les sentiments des autres puis de les anéantir. De faire croire à un monde beau et merveilleux, pour finalement finir six pieds sous terre...
L'amour familiale lui même est un mensonge grotesque, un jour ils nous font pensez êtes indispensable pour eux, et le lendemain, quelqu'un nous à remplacer, et cette famille que nous pensions aimante nous abandonne finalement un à un.
Si je vous dit tout ça, c'est que je l'ai vécu. Avant je ne pensais pas pareil. Avant que tout cela n'arrive.
C'est ma famille qui à commencer à m'abandonner, mon père lors de mon enfance, puis ma mère lorsqu'elle m'a trouver suffisamment grande pour qu'elle puisse partir avec un autre. La seule qui est rester , c'est ma soeur, mais elle à du suivre ses études, et c'est dans ce manoir que j'ai fini. Entouré par des créatures de la nuit, je servais juste de repas. Pourtant, dans cet océan de noirceurs, lorsque je pensais me noyer, seule, il à éclairé ma vie. Il est devenu ma raison de vivre. Mon seule repère dans ce monde hostile, ou l'abandon est ce qui nous entour.
" Laito"
c'est le nom de mon sauveur ... Mais aussi de celui qui m'a achever. Celui qui après m'avoir relever, m'a réduit en miette... Connaissez vous cette sensation? Celle de se rendre compte que tout ce que nous pensions vrai, avait été au final juste fait pour vous anéantir? Et bien si vous ne l'avez jamais vécu, qu'est ce que je vous envie... J'aurais tant aimé être comme vous et ne pas connaître cette douleur si immense. Elle vous rend si pitoyable, et elle vous rappelle si bien à quel point vous êtes si seule.
Mais je suis faible, je suis un poids pour le monde qui m'entour. Je suis devenu une coquille vide, ou les seules émotions qui m'anime sont la tristesse et la peur.
Vous vous demandez surement la peur de quoi ? Et bien celle que même si j'essaye de ne plus impose mon existence, et bien que celle-ci finisse tout de même à blesser autrui ...
J'espère que si un jour, je venais à disparaître, si un jour je peux enfin quitter ce monde ignoble, j'espère que tout pour qui j'ai éprouver ce sentiments auront enfin une vie plus paisible ou ils ne connaîtront pas tout ceci...
