Vous l'attraperez en maudissant la route qui l'a amené à vos yeux.
Apsara des eaux éteintes, elle éveille de sa main de jaspe rouge et solitaire,
les souffles du vagabond , odieuse Ishtar au corps orgueilleux.
Les rouages de ses cheveux ont des allures autoritaires.
Aux cimes hautes s'achèvent le sort, pleut le vin de l'amphore.
Vous buverez l'onde apaisée la colère aux mâchoires,
elle échappera des envolées d'or pour ouvrir Pandore.
Il ne restera que vous, héritier des maux du charme de l'inconnue blasphématoire.
Elle découvrira l'éros nu, vous concupiscent,
dessinerez la courbe de son dos en y laissant le feu des possibles attraits.
Révolution des obstinés, elle allumera la marche insurgée,
émergée des modulations, ils l'idolâtraient,
Puis,
se lassèrent.
Vous, compagnon des ondines du soir.
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Ivresses nocturnes
PoetryDeuxième recueil ou continuité chimérique de Dieu est un astronaute. Une petite éclipse voyante, pour qu'y naisse le mystique.