Nous avions le dos courbé, fugitifs des bastides.
Sous les voûtes des arborescentes figures,
le sac comme unique compagnon d'infortune impavide,
Nous abandonnions nos pieds aux vertes écritures.
Arabesques malines, ton corps se voûtait dans l'herbe animale,
J'avais la main baladeuse autant que nos errances mendiantes.
La bohème susurrait la danse marginale,
Les astres avaient des lumières ascendantes.
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Ivresses nocturnes
PoezjaDeuxième recueil ou continuité chimérique de Dieu est un astronaute. Une petite éclipse voyante, pour qu'y naisse le mystique.