Crépitements des âmes éteintes appuyées sur des rebords vitreux,où file ma nuit si courte ? Ca s'éloigne, s'éloigne, des routes d'un jour.
Le voyage habillé de l'astre, les mains affairées du papier désireux.
Les rails sont déluges d'angélus, naufragés sans discours.
Et il reste un semblant nuiteux qui tarit les soupirs de l'inconnu,
j'ai des dieux sans prénom pour chaque train, nouveaux étreints qui,
parfois, ont le goût des passagers du soir, où se boit, méconnu,
l'extase qui ravit, le plaisir maudit.
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Ivresses nocturnes
PoetryDeuxième recueil ou continuité chimérique de Dieu est un astronaute. Une petite éclipse voyante, pour qu'y naisse le mystique.