Under the LED lights - UshiTen

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"Quelque chose que je préférerais oublier."

[CE CHAPITRE PEUT ÊTRE DÉRANGEANT POUR CERTAINS LECTEURS].

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[The jellyfish song (MUSIC BOX VERSION)]

(je l'ai mis en haut pour que vous puissiez écouter tout en lisant l'histoire :))

[PDV de Tendou (flash-back)]

Je n'ai jamais été populaire à l'école. La plupart des enfants me fixaient comme si j'étais un animal effrayant. Leurs regards avaient l'impression de geler le sang dans mes veines...

Je le méprisais. Quand un enfant me poussait, d'autres se joignaient à lui, déclenchant une bataille à sens unique. Je m'allonge généralement sur le sol froid et dur, me laissant battre. De toute façon, je n'étais pas né pour être beau. On dit souvent : ne juge pas un livre à sa couverture. Laissez-moi vous dire. Ce n'est pas un dicton que les gens disent souvent. Même mes professeurs semblent avoir trop peur de m'aider parfois, et ils sont payés pour ça. J'ai même dû me couper les cheveux en brosse pour avoir l'air moins intimidant. Au lieu de m'intimider, ils se sont moqués de moi. Cela ne changeait rien au fait que mes grands yeux poignaient leurs âmes chaque fois que je les regardais.

Un jour après l'école, je marche les 2 kilomètres nécessaires pour rentrer chez moi. Mes parents pensaient que c'était trop embarrassant d'être vu avec moi en public. Ils savaient que je n'étais pas aimé à l'école. Certains des enfants méchants que j'avais remarqués m'ont suivi jusqu'à la maison. Attrapant des morceaux de verre brisé trouvés sur le trottoir, ils s'en sont servis pour me couper le bras.

Quand je suis arrivé chez moi après qu'ils m'aient laissé partir, mon père m'a grondé. Il n'arrêtait pas de me dire que je n'étais pas son fils et que je finirais par devoir vivre seul quand je commencerais le lycée.

Ma mère ? C'était une ivrogne, elle boit tout le temps. Je n'ai jamais eu de bonnes relations avec mes parents. Je suis enfant unique, je n'ai pas d'amis, et j'ai des parents qui me détestent. Mon seul ami était Monsieur Ours. Une peluche que j'ai trouvé dans une grande benne à ordures quand je pensais avoir perdu mes parents. Il s'est avéré que c'était eux qui essayaient de m'abandonner quand j'avais cinq ans, jusqu'à ce que la police me trouve et me demande qui étaient mes parents. Lorsque je suis arrivée à la maison ce soir-là, ce n'est pas un calin qui m'attend, mais un sous-sol glacial, dans lequel mon père m'enfermait chaque fois que je "ne me comportais pas bien". Je ne mangeais pas et ne buvais pas pendant des jours entiers parfois. Cet enfer à dure jusqu'

Mes parents ont alors fini par me renier. J'attendais ce moment avec impatience. Même si les gens à l'école essayaient toujours de m'énerver et de me manquer de respect, je gardais un grand sourire sur mon visage car j'étais plus heureux que jamais.

C'est triste, n'est-ce pas ? Quand vous êtes content que votre propre famille vous abandonne. Je sais que certaines personnes peuvent s'identifier à moi. Je ne peux pas être le seul à être le mouton noir de la famille. C'est comme ça que j'essaie de rester fort. Je connais beaucoup d'autres personnes qui sont dans le même bateau que moi. Et nous menons tous cette bataille.

*Attendez... qui c'est ? Est-ce qu'un Ace me veut dans son équipe de volley ? Mais qui est-il ? Il y a un tas d'autres personnes qui semblent m'inviter à bras ouverts.. N'ont-ils pas peur de mon apparence ? N'ont-ils pas peur de mes yeux énormes, de mes petites élèves qui fixent leur esprit comme si j'allais les réduire en miettes ? Ils sont tous si flous, et je ne peux pas les reconnaître...*

[Fin du PDV de Tendou (fin du flashback)]

Tendou vient d'acheter son nouveau téléphone en sortant du magasin. Glissant ses mains dans sa poche, le jeune homme contemple le ciel bleu. Cela faisait un moment, et cela faisait un moment qu'il n'avait pas plus dans sa ville. Le temps était agréable, assez agréable pour traîner toute la journée sous un soleil chaleureux.

Inspectant les environs, Satori a remarqué que deux enfants intimidaient une petite fille. Fatigué par l'attitude des enfants, il s'est précipité vers eux pour mettre fin à leur harcèlement. Les deux intimidateurs n'ont pas eu le temps de se défendre car ils avaient peur de la réaction de Tendou à leur action cruelle. La petite fille observa l'homme aux cheveux rouges, hésitant à le remercier car il lui semblait un peu effrayant. Elle s'enfuie à la place.

Tendou n'a pas fait attention, mais il a souri en fouillant dans sa poche pour prendre son téléphone. Il a remarqué un morceau de papier qui se trouve dans sa poche. Le numéro de téléphone que Hayato lui avait donné hier était toujours là. Cela rappelait au jeune homme qu'il pouvait contacter le garçon brun aux cheveux épis. Il s'approche de son téléphone de sa poitrine et compose le numéro.

"Allô ? C'est Tendou. Qu'est-ce que tu disais hier à propos de la prochaine fois que je vois quelqu'un de violent ?"