Chapitre 10

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La fille a attrapé la honte devant tout ses camarades. Plus tard dans la classe à notre heure de permanence je lui expliquais que je n'étais pas contente du fait que j'étais mise dans un malentendu et lui expliquais que mon je ne minterressais pas à lui. Et il comprit. Les rumeurs couraient comme quoi j'étais la plus belle du lycée. D'autre disait même que j'avais des liasons avec certains professeurs. J'ignorais juste. J'apprenais de tantine Mado que ma famille allait bien mes sœurs grandissaient elles allaient à l'école. Ma mère s'était opposé quand mon père voulait qu'Ada arrête l'école et aille se marier au nord avec un homme âge et elle avait l'intention de faire de même avec Fatima. Mon père s'était afféagé devant ma mère en colère. Elle avait décidé qu'elles grandiraient et se marireraient avec le garçon de leur choix. Mon frère Zähid avait arrêté l'école et travaillait dans une menuiserie il était bien payé. Le deuxième par contre avait arrêté aussi l'école et travaillait comme maçon un travail peu renumeré dans le quartier. Le troisième allait à l'école.

Quand a la maison les invites venaient des amis à papa Albert des hommes riches hommes d'affaires. Il s'intéressait à moi. Il voulait que je leur épouse. Je savais que pour la plupart cela partait d'une bonne intention et voulait vraiment m'épouser mais je les repoussais car je les trouvais trop vieu et aussi je devais fréquenter. Les trois fils aînés partirent pour les États Unis fréquenté. Je passais mon probatoire avec succès. Pendant les vacances j'allais dans un salon en ville à Bonapriso un quartier de riches. ou maman Mado m'avait aidé à trouver un travail en tant que coiffeuse. Je faisais des tresse et je gagnais assez d'argent. Cent cinquante mille par mois. C'était aussi mon argent de poche.

Je passa mon année de terminale très bien. J'eus mon bac avec mention et je reçus une bourse renouvelable.

La chronique de Fatoumata  la peuhlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant