Aujourd'hui nous avons eu un module de sécurité routière qui fût long, on ressent la fatigue au sein de la compagnie. Nous devions répondre à des questions pour déterminer nos centres d'intérêt. A la fin nous avions des thématiques et devions nous placer d'un côté ou de l'autre de la salle pour dire : d'accord, pas d'accord. Nous devions donner des arguments pour convaincre des gens du Camp adverse. Durant cette période on m'a surnommé le "philosophe" car je répondais systématiquement à la question posé et trouvai des arguments logique.
L'heure du déjeuner vient et les compagnies se rassemblèrent. Une fois l'estomac rempli la compagnie Rinner (la nôtre) se rassemble et nous jouons au loup garou après cette partie nous rejoignons une autre compagnie avec qui nous avons eu un long débat qui avait pour question :
"Quelle est la place de la femme dans la société ? "
Cette question nous y avons répondu en 1h30 grâce à un débat qui a d'abord pris sur la place de la femme, son salaire, les stéréotypes sexistes, puis nous a déportés vers la culture du viol.
Et c'est au moment de la culture du viol que j'ai sorti une phrase que j'apprécie beaucoup pour contre dire les commentaires sur le consentement :
"Le Oui n'a de valeur que si le Oui peut se changer en Non"
Nous avons parler également de la peur de porter des tenues pour les filles. Nous avons également eu le mot de la fin avec un rebondissements sur la culture du viol et un témoignage : "les garçons peuvent se faire violer" ! Nous a dit Coline et sur ceux nous avons eu l'interview d'un élève qui s'est fait agressé sexuellement dans son ancien collège privé. Qui nous a beaucoup touchés et en particulier moi.
En rentrant nous avions un imprévu, une personne de notre compagnie a remarqué que son téléphone a disparu. Le bâtiment se met alors à fouiller dans le bâtiment puis se met à fouiller dans le bâtiment verger puis deux - trois vont à Philippe et se mettent à fouiller sans la permission des propriétaires. C'est alors que la tension monte. A tel point que nous prenons la décision de les séparer, les tuteurs sont en réunion avec les cadres. La tension se baisse au fur et à mesure et aucun incident n'est a déclaré, le téléphone retrouvé.
La morale : ne jamais déclaré volé quelques choses que l'ont a oublié
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Journal de bord du SNU dans le Val d'Oise
No Ficcióndescription de chaque jour du séjour de cohésion du SNU du 21juin au 2 juillet. A tous les organismes qui dépendent du SNU, vous avez mon autorisation pour reprendre mes écrits !
