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Coucou tout le monde.

Je ne fais que de me répéter mais désolé pour l'absence.

Sur ceux, je vous la fait courte, bonne lecture:)

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     — Salut les gars, m'élançai-je en souriant avant de m'installer avec eux sur la table de la cafétéria.

Tout naturellement, mes pas me dirige vers mon copain pour m'installer mais à ce que je vois,

A ce je vois...

Il est déjà entouré de Noah et d'avani. Je les toise quelques instants, pou finalement m'installer en face de mon frère.

      — Désolé, j'imagine que tu voulais t'installer ici...s'excuse cette très chère Avani.

      — C'est bon, ne t'en fais pas. Enfin, bon, passons. Vous parliez de quoi?

      — Encore et encore du terrain de football...râle ma meilleure amie.

      — Putain, y'a encore eu 17 votes de plus sur la pétition!

Je ne m'attendais pas à ce ton de la part de Payton. Il semble énervée de ça. Qu'il le soit alors... Ça ne changera rien à ce que je pense de cette pétition.

C'est une très bonne idée.

      — Ça vous gêne tant que ça, de céder une partie de votre terrain aux autres clubs?

       — Pourquoi tu les défends?

       — Je ne les défend pas, je pose simplement une question...répondis-je à mon copain.

12h29... Il est 12h29.

Le compteur est activé. Dans quelques secondes, l'article devrait être poster. Alors, le regard rivé sur ma montre, je m'impatiente face à l'aiguille des secondes.

Et soudain...

J'entends les vibrations de téléphone se multiplié dans ce grand espace. Les regard sont tout naturellement dirigé vers les téléphones et comme pour le premier article, les chuchotements se font entendre par millier.

« Une destruction du terrain de plus en plus imminent...»

Rien de bien nouveau, comme sujet. Et pourtant, tout ça intéresse vivement chaque élèves de cette établissement.

A croire que chacun d'entre eux souhaitent voir l'es footballeurs périr...

      — Putain, si j'attrape qui celui où celle qui se trouve derrière ce putain de blog, je lui refais sa putain de face! Putain! Jure celui qui aujourd'hui, s'apparente à mon petit copain. C'est des putains de fils de putes qui ont pas de couilles pour dire qui ils sont! Qu'ils aillent vraiment se faire foutre!

C'est violent. Je sens mon cœur violenté. Mon égaux en prend un coup. C'est vraiment ce qu'il pense de moi et de Daniels.

«  Des putains de fils de putes »

Paradoxalement, si ça n'avait pas été moi, la rédactrice, et que les articles se seraient ligués contre mon équipe de cheerleader, j'aurai réagis de la façon, mais moins excessivement, voir pas du tout.

Lui, il est dur dans ses mots, il ne les mâchent pas et les jettent comme de vulgaires paroles insignifiantes et pourtant, ça blesse d'entendre ça, ça blesse de voir que pour l'équipe de football il prêt à tout.

•Hᥱᥲᥣ,Lᥱᥲrᥒ,Groᥕ,Lovᥱ• IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant