Quand Rose fut sortie, elle courrait du plus vite qu'elle pouvait jusqu'au parlement de Florence. Espérant que Jean Gaston de Médicis serait là, elle bousculait les gens en attente d'une audience pour arriver à la porte principale.
- Où est le seigneur Jean Gaston, où est-il je dois lui parler.
Pendant ce temps chez le docteur Barberini.
- Mais que fait-elle, dit Antonio, elle devrait être rentrée depuis un bon moment.
- Vous voulez que j'aille voir si elle a eu son entretien avec Jean Gaston de Médicis, dit Vilémine.
- Avec qui ?, dit Antonio sur le qui vive.
- Oh...bah avec personne, vous aviez cru qu'elle était en train de discuter.
- Ne me ment pas je sais que ton amie est chez les Médicis, dit Antonio méfiant, c'est étrange je ne retrouve plus les partitions pourtant je les avait bien caché si Rose les a et si elle ne me les rend pas tous de suite je ferais tout pour vous tuer.
Vilémine était sur le point de pleurer mais elle retenait ses larmes, elle sortie par la petite porte secrète qu'elle avait découverte quelques minutes plus tôt. Elle courru à l'écurie la plus proche et pris un cheval, devant le parlement Rose frappait toujours à la porte.
- Viens, dit Vilémine affoler, il faut fuir vers Rome.
- Mais pourquoi tu sais que mon audience est importante Vilémine, dit Rose.
- Je te dit ça parce que Antonio menace de nous tuer si tu ne lui rend pas les partitions.
- Tu sauras où nous logerons au moins, dit Rose, car je ne tien pas à dormir sur la paille.
- Tu n'as pas à t'inquiéter j'ai de la famille là bas, dit Vilémine.
-Très bien je vais préparer mon cheval, dit Rose.
Rose grimpa sur son cheval et elle partie pour Rome accompagnée de Vilémine avec l'incertitude d'une mort certaine.
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La nuit du Requiem
أدب تاريخيRose de Sainte Croix est une inconditionnel de la musique. Florence, novembre 1791, Rose rentre chez elle quand sa mère lui fait une étrange révélation avant de mourir, disant qu'elle devait récupérer des partitions du Requiem de W. A Mozart, qui ri...
