« 𝐋𝐢𝐛𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 »

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Tu m'as donné ta peine et ta rancoeur,
Ta souffrance et tes douleurs,
Ton âme et ton coeur,
Pour que j'en fasse quelque chose de bien,
Mais moi je ne suis pas médecin.

Tu m'as souris,
Un jour de pluie,
Où la vie n'était pas rose,
Mais toi tu as su ne plus la rendre morose.

Et puis d'un coup,
Ton regard est devenu rouge
Et comme un coup de couteau,
Tu m'as poignardé dans le dos.

Je n'ai jamais,
Su ce qui nous était arriver,
Mais toi tu m'en voulais,
Alors tu as décidé de me piéger.

Tu m'as tendu,
Ce que tu ne voulais plus,
Une rose pleine d'épines,
Qui m'as détruite en plein dans le mille.

Et puis tu m'as souris,
D'un air si sadique,
Comme si j'avais toujours étais,
Satan à tes côtés.

Je n'est jamais,
Compris qui réellement tu étais,
Ni tes agissements,
Ni tes mensonges d'antan.

Mais tu sais,
Je me suis relevée,
Et je ne suis maintenant plus,
Celle que tu connaissais.

Il faut croire,
Que notre amitié,
M'as finalement bien aider,
Pour mieux m'assumer.

Je te le dis,
Avec un dernier sourire,
Que tu me manquera plus,
Et que je peux enfin vivre,
Plus librement,
Que quand j'étais à tes dépend,
Maintenant, tu ne contrôle plus ma vie,
Et je suis enfin une femme libre.

𝐑𝐞𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐞̀𝐦𝐞𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant