« 𝐓𝐮 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐬 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞 »

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Tu étais celle que j'aimais,
Tout mon coeur t'appartenais,
Mais toi tu l'a emportait,
Avec ton sourire faux mais que j'aimais.

Oui, je l'aimais ce sourire diaboliquement angélique.
Celui qui m'a fait craquer pour toi,
Celui que j'ai mordu et embrassé,
Celui que je ne peux m'empêcher d'oublier.

Et j'étais vraiment à deux doigts,
Je te laisser jouer avec moi,
Avec tes mains faites de soie,
Et tes yeux pleins d'émoi.

Tu étais celle que j'ai promis d'aimer,
Et de ne jamais tromper,
Mais l'inverse à étais fait,
Mais au fond je m'y attendais.

Tu étais celle que j'admirais,
Autant pour sa douceur que pour sa beauté.
Tu as tant de qualité,
Que je ne saurais en dire la moitié.

Tu étais celle dont le corps est allongé,
Mais courbé quand les vendredis soir,
Tu étais devant chez moi légère mais adossée,
Et tu n'attendais que moi.

On s'était promis des choses,
Mais au fond je savais que tu n'y parviendrais pas,
À l'oublier lui et tu ose,
Me laisser et t'en prendre à moi.

Comme si j'avais étais le seul être,
À communiquer mes pensées,
Et à te les faire promettre,
Mais tu as tout lâché.

Tu étais celle avec qui j'ai fais ma première fois,
Et aussi ma dernière fois.
Tu étais la douceur vibrante dans ma vie,
Tu étais celle qui illuminée mon esprit.

Tout mes sentiments sont contradictoire,
Et tous les sentiers me mène à toi.
Tu était la celle à pouvoir voir,
À quel point je tenais à nous, à toi.

Toute mon âme t'appartenais,
Et égoïste comme tu es,
Tu as décidé de t'en aller,
Loin d'ici et de m'abandonner.

Et maintenant tu es celle,
Qui à mes yeux,
Ne demande plus que de pleurer,
Pour moi et ma tragique histoire,
Pour mon mélodrame qui m'enivre,
Et me laisse entrevoir,
Un espoir,
D'une meilleur vie,
Loin d'ici,
Au paradis.

Cette lettre n'est pas un reproche,
Mais une simple lettre,
Qui te rappellera sûrement,
À quel point je t'ai aimer,
Et à quel point je n'est pu t'oublier.

Adieu ma chère être aimée, ma chère femme, ma chair, tout simplement. Je ne peux vivre sans toi, plus d'un instant. Et je quitte ce monde en pensant qu'un jour, tu m'y rejoindra, et que enfin tu m'aimeras. Et si cela n'est possible, alors je t'en supplie, sauve mon seul et unique souvenir de toi, c'est celui dans lequel tu me souris pour la première fois.

𝐑𝐞𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐞̀𝐦𝐞𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant