The Story Of Doppelgängers

Cadeau

« Cher journal, je ne t'ai pas parlée depuis longtemps ! Je m'en excuse, mais pour tout te dire, ces derniers jours ont étés très mouvementés. L'anniversaire de mon frère, mon agression, mon couple avec Matthew. On est maintenant en couple depuis 1 mois, je n'arrive pas à le croire ! Je me suis aussi beaucoup rapprochée de Lilibeth, je pense maintenant pouvoir dire qu'elle est ma meilleure amie. »

Ce jour là, nous étions le Lundi 28 Octobre. Il ne restait plus que 2 semaines avant mon anniversaire, j'avais tellement hâte ! Après avoir posée mon journal, j'avais été saluer ma famille et prendre mon petit déjeuner.

Stéphanie : Bonjour tous le monde !

Elena : Bonjour ma chérie, comment vas-tu ce matin ?

Stéphanie : Plutôt bien mais je meurs de faim !

J'étais donc partie dans la cuisine pour remplir un bol de céréales et prendre une petite tasse remplie de myrtille. J'avais donc déjeunée au salon en compagnie de mes parents. Nous avions parlée du boulot de ma mère et de son cabinet médical. Mon père avait décidée de soutenir ma mère dans son projet de crée un cabinet et avait donc décidé de rester avec nous pour nous élever. Après le petit déjeuné j'étais remontée dans ma chambre pour prendre mes vêtements puis me préparée pour l'école. En redescendant j'avais vue mes parents discuter avec ma tante Bonnie, visiblement elle venait d'arriver.

Bonnie : Je ne suis pas d'accord avec votre choix mais je le comprends, voilà ce que vous m'avez demandée. Passez le bonjour à mes nièces et mon neveu, je ne peux pas rester, j'ai encore des choses à faire.

Elena : (anxieuse) Merci beaucoup.

Damon : Merci Bonnie, tu es la meilleure !

Mes parents et ma tante c'étaient fait un câlin puis elle était repartie. Que venais t'il de se passer au juste ? Je n'avais pas réellement tenue compte de cette conversation puis j'étais retournée dans ma chambre pour prendre mon sac de cours et mon téléphone. Avant de retournée au salon je m'étais dirigée dans ma prendrie pour prendre ma tenue de cheerleading. Mes parents étaient assis au tour de la table, et visiblement ils m'attendaient.

Elena : Chérie, on sait que ce n'est pas encore réellement ton anniversaire mais on voudrait déjà t'offrir un cadeau.

Je m'étais rapprochée de la table puis j'avais vue un petit paquet sur la table. Un papier cadeau gris en cachait le contenant et un petit ruban violet était attaché au tour. Je l'avais pris dans mes mains puis l'avait déballé. A l'intérieur j'avais vue une petit boite blanche, carré et rectangulaire. Au dessus, en couleur doré, était marquée « • La Bijouterie • ». En l'ouvrant j'avais découvert une magnifique bague. Elle était couleur argent avec de fines gravures. Elle était faite d'un argent maniable et était de ce fait réglable. Elle était vraiment splendide ! Je l'avais mis sur mon index puis avais remerciée mes parents.

Stéphanie : Merci beaucoup ! Je l'adore déjà, elle est incroyable ! (riant) Entre moi et William vous adorez offrir des bagues cette année !

Damon : (souriant) Je suis content qu'elle te plaise ma chérie.

Stéphanie : (surexcitée) Merci, merci, merci !!!!! Je vous aime fort, tous les deux !

Elena : Nous aussi ma chérie, nous aussi.

J'avais donc pris mes parents dans une étreinte familiale qui avait durée quelques minutes. Après ce moment fort en émotion, j'étais donc partie prendre mon bus puis j'étais partie en cours. Vous ne le croirez peut être pas, mais pour une fois j'étais a l'heure ! Ce matin j'avais cours d'histoire, puis d'anglais. Les deux premiers cours de la journée c'étaient plutôt bien passer, même si, comme à chaque fois, le cours d'histoire avait été plus ou moins gênant. Lorsque la sonnerie avait retentit le professeur nous avait donné les devoirs puis nous étions sortis en pause.

Matthew : (exaspéré) Pourquoi tous les profs adorent nous garder plus longtemps pour nous faire notés les devoirs ? Ils ne pourraient pas le faire avant ?

Stéphanie : (riant) Ou juste ne pas en mettre !

Matthew : Aussi !

Nous nous étions ensuite empressés de rejoindre Lilibeth qui était à l'extérieur sur un banc. Autour d'elle il y avait un groupe de pote, sûrement des premières. Mais plus nous nous approchions et plus ils partaient.

.... : (s'adressant à Lilibeth) Tu traînes avec des secondes ? C'est bon on se cassent les gars ! (chuchotants) Bouffons !

Nous avions tous les deux entendus cette remarques mais nous avions décidés de ne pas en tenir compte. Mais quand un garçon était passé en bousculant Matthew il n'avait pu s'empêcher de s'exprimer.

Matthew : On est peut être des bouffons mais vous ne valez pas mieux !

... : Qu'est ce qu'il a le petit, il veut ce battre ?

Stéphanie : Non c'est bon, on va juste aller rejoindre tranquillement notre meilleure amie.

... : C'est ça écoute ta meuf.

Je ne sais pas si c'est parce que le gars avait parlé de moi ou parce que Matthew c'était senti attaquer en plein dans son ego mais en tous cas il n'avait pas apprécié la remarque. Il avait très rapidement mis une droite une garçon puis il c'était calmement retourné en direction du banc.

Lilibeth : Je n'ai jamais vue une droite pareille !

Matthew : (riant) Merci, merci

Pour la fin de la pause je m'étais blottie dans les bras de Matthew puis nous avions parlés avec Lilibeth. Ces moments étaient tellement précieux. J'étais juste là, avec ma meilleure amie, dans les bras de mon petit ami, sans penser a rien. Parlant de sujets et d'autres sans se prendre la tête. Dans ces moments là je me sentais libre d'être moi, sans mur, sans carapace. Juste moi et seulement moi ! Puis le bruit de la sonnerie s'était fit entendre.

Matthew : L'arrêt de la liberté a sonné !

Stéphanie : (moqueuse) Arrête, tu exagères tout !

Lilibeth : Désolé Steff mais sur ce coup là je suis d'accord avec lui !

Stéphanie : J'ai compris vous vous léguez contre moi, j'abandonne (riant) maintenant direction les cours !

Le soir mon père m'avait fait une surprise et il était venu me chercher à la sortie du lycée. En rentrant à la maison j'avais pris ma douche puis je m'étais mise en pyjamas. Après mettre laver le visage j'étais descendue sur le canapé. Mon père et ma mère avaient prévue une soirée télé en famille. Nous avions donc mangés les pizzas devant un film puis nous nous étions couchés.