La Bataille De Poudlard et Le Deuil (Weasley) (terminé)

Point de vue de George Weasley (1)

Je me bats avec mon meilleur ami Lee contre le Mangemort, Antonin Dolohov que Lee et moi réussissons à mettre en échec. Nous croisons Harry

- La guerre est définitivement terminé

- Vraiment, tu l'as vaincu ?, demandé-je à Harry

- Oui, j'ai pas encore vu les victimes

- Moi non plus, on va voir ça, dis-je à Harry et à Lee

- Bien sûr, je te suis George, dit Lee

Lee, Harry et moi allons dans la Grande Salle puis nous regardons les corps, je m'arrête devant les corps du professeur qu'on a eu en cinquième année avec Fred et Lee, le professeur Lupin. Il a été formidable et très gentil. Le seul professeur avec le professeur Flitwick, le professeur McGonagall et le professeur Chourave à qui nous n'avons pas fait de blagues avec Fred. Allongé à côté de lui, se trouve sa femme Nymphadora Tonks, on s'entendait si bien avec elle, une métamorphomage exceptionnelle. Leur pauvre petit Teddy est désormais orphelin d'un mois mais est gardé par la mère de Tonks, Andromeda Tonks. Je verse des larmes, je sens une main sur mon épaule, je regarde qui s'est et c'est papa.

- Ca va mon grand

- Oui c'est juste que ça me fait de la peine de voir Lupin et Tonks, comme ça, répondis-je à papa

- Je sais mon grand

- J'espère qu'il n'y a rien de pire, papa ?

- Viens avec moi, mon fils

Papa m'emmène sa main sur mon épaule vers ma famille et leur dit

- Poussez vous, un peu, s'il vous plaît

Toute la famille s'enlève pour me laisser passer, un silence de mort me glace le sang, je suis presque bloqué sur place, je lâche ma baguette au sol et là je me mets à trembler et à crier de manière très poignant car je vois mon jumeau parmi les victimes.

- Non, Non, pas ça

Je cours vers Fred en ne réalisant pas qu'il est mort. Mes pleurs sont les plus déchirants je pense.

- Freddie, pas toi, par pitié, me laisse pas, dis-je en pleurant toutes les larmes de mon corps

C'est bien la première fois que je suis dans un état pareil, la première fois que j'ai pleuré c'était la mort de mes oncles maternelles Fabian et Gideon Prewett, Fred et moi avions trois ans. Mais là, je viens de perdre mon jumeau, ma moitié. Je vais dans les bras de papa, je fonds en larmes, impossible de regarder mon frère comme ça.

Papa me caresse le dos très doucement.

- Monsieur et Madame Weasley, puis-je vous parler dans mon bureau s'il vous plaît

- Bien sûr, Minerva, allons y Arthur, lui dit maman

Papa me regarde et me dit

- Reste avec tes frères et ta soeur, d'accord

- D'accord, papa, dis-je en larmes

Bill prend le relai de papa et me prend dans les bras où je re-fonds en larmes. La mort de Fred est une immense douleur en moi.