Chapitre 2 - Iriana

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J'ouvre péniblement les yeux, la lumière du jour est faible, j'essaye tant bien que mal de comprendre ce qui m'arrive mais rien ne me vient comme explications. Je me suis fait kidnapper. Je jette un coup d'yeux autour de moi, je suis une chambre comment dire... ce n'est pas vraiment mon style le mobilier est noir avec des touches de rouge et de doré. On dirait un peu un mélange de la décoration d'une maison close et de la chambre de Satan enfin c'est un peu bizarre. Je décide de me lever du grand lit dans lequel je m'étais endormie la veille, le sol sur lequel je m'étais évanouie la veille possède des traces rougeâtres comme de la peinture...

« OOOH mon dieux c'est... c'est du... sang ! » m'exprimais-je avec stupeur et terreur.

Je manque de trébucher en courant vers la porte d'entrée en bois noir, la main tremblante sur la poigner de la porte celle-ci ne bouge pas d'un millimètre. Elle est fermée à double tour. Je m'écroule au sol toute tremblante ne sachant pas quoi faire d'autre.

Après une dizaine de minute j'aperçois une autre porte à l'autre bout de cette chambre qui n'est pas la mienne qu'on soit bien clair là-dessus. J'ouvre la porte et je peux remarquer une grande salle de bain elle est immense c'est deux pièces doit faire la taille de mon appartement facilement. Une grande baignoire trône au milieu de la salle de bain, de l'autre côté je peux distinguer une douche immense à l'italienne et deux robinets d'eaux. La salle de bain donne sur une magnifique vue sur un jardin avec une monticule de neige et de sapin à perte de vu. Ce paysage est magnifique et apaisant. Je reprends mes esprits et une crise d'angoissant commence à pointer le bout de son né. S'il neige je ne suis pas à Santa Monica mais dans un autre État même un autre pays, j'ai du mal à respirer, je suffoque, je cherche l'air qui manque à mes poumons. Personne ne me retrouvera jamais si je suis dans un autre pays, Comment je suis arrivé là ? Pourquoi je suis là même ? je repense aux dernières paroles de l'inconnue « bienvenue en Enfers mon ange », mes larmes roule sur mes joues sans même que je les contrôle. Soudainement j'entends un craquellement de gorge. Je me retourne brutalement pour voir deux hommes enfaite ce ne sont pas des hommes mais des armoires a glace.

« босс хочет видеть тебя, дорогая, а он не из тех, кто ждет. Торопитесь, сука » me dit-il sèchement.

* « Le patron veut te voir, chérie, et il n'est pas du genre à attendre. Dépêche-toi, salope »

Mes yeux s'ouvrent en grand, je ne comprends rien à ce qui me dit ça veut dire quoi, c'est quoi comme langues déjà je connais que l'anglais et un peu d'espagnol que j'ai appris à l'école.

«рядом вы не видите, что вы его пугаете. Il faut que tu nous suives le patron veux te voir, n'est pas peur ça va aller ! »

* « ferme là tu ne vois pas que tu lui fais peur. »

Le ton de l'autre ma rassure un peu, il parle la même langue que moi c'est déjà un bon point, je l'ai suivi dans la grande demeure. C'est villa est magnifique elle ressemble à la maison dans dynastie, le sol est en marbre blanc et je vous parie tout ce que j'ai que les meubles sont plus chers que le solde qui à sûr mon compte en banque. L'atmosphère est étouffante malgré la faible température de la maison, il doit avoir une quinzaine d'homme qui me fixe quand j'arrive dans ce qui me semble être le salon. Tous armée jusqu'au dent et leurs yeux qui me relook de haut en bas avec un sourire qui ne me dit rien qui vaille. Des frissons me parcours le corps face à la froideur des lieux, je ne suis qu'habiller que d'un tee-shirt trois fois trop grand pour moi, il m'arrive au-dessus des genoux. D'un coup je percute le dos de l'homme qui parlais anglais celui-ci c'était arrête nette, j'observe autour de moi et je vois une immense salle avec un bureau en marbre noir. Je peux apercevoir une silhouette que j'aurais préfère ne plus voir, c'était la même que celle d'hier soir.

мафияOù les histoires vivent. Découvrez maintenant