5. ADOLESCENCE REGRETTÉE (1st)

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I. Amour scolaire

À 14 ans je me retrouve dans une nouvelle école à la recherche d'une vie meilleure, une meilleure formation, des nouveaux amis; des nouvelles connaissances, des meilleures choses.
Je fais de nouvelles rencontres, et me fais de nouveaux amis même si au début j'ai du mal à m'intégrer. J'étais plutôt du genre calme, méfiant et très réservé. Mais comme toujours, les femmes (filles) m'ont souvent admiré. Mon côté calme, méfiant, renfermé et mystérieux les a souvent attirés (en tout cas au moins l'une de ces choses à attiré l'une d'elles s'il ne faut prendre que l'aspect moral)

L'être féminine m'a toujours voulu parmi elle, c'est ainsi que m'abordent un jour, Evodie et Emy, deux meilleures amies de depuis plusieurs années.
Vu qu'elles étaient plus anciennes que moi dans cette école, elles m'aident à m'intégrer; à connaitre les règles, à savoir comment me comporter, où faire quoi, etc.

Cela faisait qu'on passait souvent du temps ensemble et en profitait pour apprendre à se connaître, alors à force de passer la grande partie de mon temps avec elles, j'ai commencé à m'attacher à elles, mais à m'intéresser particulièrement à Emy.
C'était une mignonne fille, brave et intelligente, timide et très observatrice. Elle avait un sourire qui ne laissait pas indifférent.

Bien que son sens de logique, de raison et de principe m'attirât beaucoup, c'était le genre de fille à s'attacher facilement et ça c'était l'un des défauts que je n'étais pas prêt d'accepter.

Vous pouvez penser qu'il n'y avait rien à craindre, que puisqu'elle m'aimait elle n'aimerait personne et ne s'attacherait à personne d'autre, ce qui paraît logique mais faux selon moi. Je n'ai jamais partagé cet avis et je ne pense pas que les gens devraient penser comme ça.
Il ne faut jamais rien prendre pour acquis, tout peut changer, tout peut finir et tout peut commencer.

J'ai souvent été méfiant et très réservé sur les questions de confiance alors, je ne m'imaginais pas être avec quelqu'un qui pourrait s'attacher facilement et aimer quelqu'un d'autre du jour au lendemain.

Bon, on s'aimait, mais on ne pouvait pas toujours être ensemble. On se refusait de se voir pour éviter de s'attacher, mais le fait était qu'on était dans la même classe et les complications ne venaient pas que de moi.

Emy se sentait bloqué de son côté.
C'était une fille plutôt bien éduquée (s'il faut le dire ainsi...), depuis son bas âge ses parents n'ont jamais cessé de lui dire qu'elle ne pouvait et ne devait pas avoir de petit ami ni se fier à la vie de copinage, et elle avait toujours respecté ça.
Une fois elle a essayé d'aller à l'encontre mais s'est ressaisie rapidement, alors elle ne voyait pas comment ç'allait se faire pour qu'elle brise ce principe qu'elle s'est tenue d'observer depuis son bas âge, mais ses sentiments ne faisaient que grandir et moi non plus je ne lui laissais pas d'espace.

Je ne lui mettais pas de pression, non.
Je ne cessais juste pas de lui prouver mon amour et de lui faire comprendre qu'on avait pas besoin d'être ensemble (en couple, en relation,..) pour que je puisse l'aimer et que je l'aimerais toujours quoi qu'il arrive.
Mais tout cela était pour elle une autre façon de faire pression, alors après près d'une année, on a fini par nous mettre d'accord, par se mettre ensemble.
J'avais fini par croire que je ne pouvais l'avoir que pour moi, que je n'avais rien à craindre et qu'elle n'aimerait personne d'autre vu qu'elle me l'avait prouvé, et elle aussi avait fini par comprendre qu'elle ne pouvait pas se tenir toute sa vie à suivre ce commandement que lui avaient imposé ses parents...

N'hésitez pas de poser des questions, proposer des idées ou quoi que ce soit.
Surtout faites vos remarques sans retenue.

Lisez la suite au chapitre suivant.
Merci !

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