Así es la vida

Chapitre 14 : Carlos

Je suis enfin arrivé dans cette putain de boîte de nuit, j'ai mes harnais avec mes armes, sur mes cuisses seulement puisque je suis en robe, je ne peux pas mettre le haut.
Je rentre sous le regard de fauves qui me dévorent des yeux.
Ils ne savent sûrement pas qu'ils n'obtiendront rien de ma part.

Je balaye la boîte du regard pour trouver cette abrutie d'Oscuro.
Je l'ai enfin trouvé avec quelques femmes sûrement des putes.

Il y a deux types de putes.
Celles qui font juste leurs travaille et qui ont juste vraiment besoin d'argent se qui sort en générale d'elles c'est la sincérité, le respect, la douceur, le besoins et l'aide mais il reste malheureusement le deuxième type, celles qui sont obnubilée par l'argent et sautes sur tous ce qui bouge, qu'il soit marier en couple ou autre cela ne change rien pour elles, des michto et surtout de vrai garces, les seule choses que je vois a travers elles se sont la cupidité, le mépris, la vanité et le mensonge.

Pour couper court tout ce que je déteste, donc si par malheur, je me mets à insulter une prostituer, c'est qu'elles font partie du deuxième type.
Et pour le coup, je penche plutôt le deuxième type de femmes.
Je suis observatrice, je ne vais pas foncer tête baissée, je vois que ses hommes de main sont là comme d'habitude.
Ils veulent prendre du bon temps.

Ah, bah, j'arrive !!!
On va prendre du bon temps ensemble mon petit Oscuro.

Il m'a vue venir et il demande aussitôt aux quelques putes autour de lui de partir.
Je vais me faire un plaisir.
Je m'assois sur de genoux sous les regards surpris de ses hommes.

-Bonsoir,

Il a l'air surpris, ça me fais bien rire.

-Ça fait longtemps, depuis... Skylos !!

Je le regard à mon tour surprise qu'il me l'annonce comme ça.

Il en profite pour poser sa main sur ma cuisse.
Profiteur!!
Il veut jouer alors je vais jouer.
Je pose ma main sur son torse, il frisonne à mon toucher se qui ne m'échappe pas.

Je lui offre un joli sourire, un homme face à une femme n'est rien d'autre qu'un chien faible enfin son corps en tout cas ne peux pas se contrôler.

-Exacte !

-Tu veux quoi ??

-Mmmhhh, je veux que tu nous laisses tranquilles.

-Et pourquoi le ferais-je ??

-Parce que j'ai une chose qui t'appartient.

Je le vois se crisper, que les choses sérieuses commencent.

-Quel genre de choses ?
Insiste-t-il.

-Mmmmhh une certaines cargaison.

Oula des veines sortent de son cou, je crois que j'ai été trop cash.
Alejandro et Diego ont leur flingue entre leurs mains à la vue de leur chef énervé.

-Rends là moi.
Dit-il un peu trop calmement à mon goût.

-Pourquoi le ferais-je ??

-Parce que j'ai ta vie entre mes mains et si tu n'as pas envie de mourir ...

-Moi, j'ai ta cargaison entre mes mains, tu n'es clairement pas en position de négocier !

-Rends là moi sans faire d'histoires.

-Mmmmmhhh ... Laisse-moi réfléchir... Non.
Je veux que tu nous laisses tranquilles et si tu le fais, et seulement au moment où tu me le confirmeras, je te rendrais cette cargaison qui a l'air de coûter quand même cher.

Il me lance un regard noir qui me fait frissonner, sérieux, il me ferait presque peur.

Presque...

Il me prend par le bras me force à sortir.
Il a de la force dans les bras, j'avoue que ça pique un peu.
Il me plaque contre le mur, ce sont deux mains entour mon visage.