Chapitre 8 : Il le sait

120 6 0
                                    

Je remercie dans ma tête le DJ parce que là, ça me fait un bien fou.
Par contre, je le répète une fois de plus ne vous imaginez rien, il ne se passera jamais rien entre nous.

Puis...

BAM

C'est...
C'est un putain de coup de feu...
Les gens ne sont pas affolées puisqu'ils ont l'habitude, mais sauf que le bruit vient de la pièce VIP.

-Bastien couvre mes arrières !!

On se dirige vers Skylos !!!!

-Ok!!

Il y a énormément de bruit à cause de la musique et des gens qui crie, c'est une boîte de nuit quoi.
Mais  putain que ça me saoule de tous les entendre, j'ai envie de tous les  buter, mais bon, je ne vais pas trop m'attarder là-dessus.
Nous nous faufilons entre toutes ces personnes bourrées ou droguer ou tous simplement des putes.
Nous sommes en face de la porte pour la millième fois de la soirée et j'ouvre encore cette putain de porte.

1....2....3

Les guns à la main, je vise, on ne sait jamais, je vois un homme mort.
Ça me rassure que ce ne soit pas Skylos non pas parce que je m'inquiète, mais plutôt qu'il faut que cette affaire tourne et en plus, je serais venu pour rien, ça m'aurait franchement fait chier qu'il meurt.

Les regards se braquent sur moi ou plutôt sur nous et je fais demi-tour parce qu'à partir du moment où rien et arriver à se gros perro de la casa (chien de la case) , ça ne me regarde plus.

Je  sens des doigts se glisser autour de me poignet et une main me prend  par la hanche puis je suis plaqué contre le mur à côté de la porte,  Bastien instinctivement pointe son gun sur la personne qui n'est autre qu'Oscuro et les deux mecs derrière pointe leurs A.R. sur Bastien....

Quant à moi, je lui pointe mon couteau pile sur ses parties intimes et lui pointe son putain de P 90 sur ma tempe...

-Baissez vos armes !!
Tu es rapide pour une meuf ...
Dis ce chien d'Oscuro avec malice.

J'ai une putain d'envie de le buter.

-Et toi pas si con pour un mec.

Il grogne de ... Je ne sais pas quoi.
Je n'arrive pas à décrire ses émotions.

-Si tu ne me lâches pas tout de suite, tu peux dire adieu à tes putain de cojones (couilles) ...

Nous  nous fixons quelque seconde droit dans le blanc des yeux, ce duel de  regard à figer toute la pièce ni lui ni moi avons baissé les yeux puis  il décide enfin de me lâcher et de briser ce moment.

Je suis clairement fière de moi, mais je ne montre aucune émotion.

-C'est qu'elle mord la pequiña !!
Dit Diego.

-Ça fait la deuxième fois!!
Je ne suis pas un objet cabrón!!

-Euh ... Si, comme toutes les femmes.

Cette phrase me fige je haï ces propos qui n'ont ni queue ni tête, mais je ne dois rien laisser paraître.
Alors je me contente de lui lancer un regard noir et décide de l'ignorer ce qu'il l'a sûrement agacé temps mieux.

Je me tourne vers Oscuro avec un regard quand même triste son père n'était pas comme ça, il respectait beaucoup les femmes et il ose traiter les femmes ainsi.

-Tu me déçois...

Oula qu'est ce que je viens de dire !!
Il me regarde avec interrogation.
En même temps, je le comprends, mais bon.

Je secoue ma tête de droite à gauche et regarde par la suite ma montre.

-Tu as encore 10 min pour régler ton problème sinon je me casse et fais affaire avec quelqu'un d'autre.

Así es la vidaTahanan ng mga kuwento. Tumuklas ngayon