Chapitre 17

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PDV Harry :
Je dors malgré la douleur mais d'un coup je l'entend. Cette voie. Elle veut  tuer. Je me réveille d'un coup. Je me lève et regarde autour de moi. Rien, à part Cassy qui dort paisiblement dans son lit. Je ne vois pas bien mais je cois qu'elle n'est plus aussi pâle. Cette voie ne s'arrête pas. Je l'entend se déplacer. Je suis son chemin mais mon regard tombe sur Dobby.

«- Coucou ! Me dit-il.

- Dobby ?! Dis-je en regardant si personne n'est là et si Cassy ne s'est pas réveillée.

- Harry Potter aurait dû écouter Dobby ! Harry Potter aurait dû retourner chez lui après avoir raté le train ! Me dit l'elfe.

- C'était toi ? Tu as fais en sorte que le passage ne s'ouvre pas pour Ron et moi ? Lui demandais-je énervé.

- En effet ! Oui monsieur. Me répond-t-il honteux.

- On a faillis être renvoyés a cause de toi ! Lui dis-je.

- Oui, mais au moins vous seriez loin d'ici. Harry Potter doit retourner chez lui. Dobby pensait que son cognar suffirait pour que Harry Potter comprenne que- Commence-t-il a m'expliquer.

- Ton cognar ? Tu as envoyé ce cognar me pourchasser ?! Demandais-je furieux.

- Dobby est plus qu'affligé monsieur. Dobby a dû se repasser les mains. Il le montre ses mains pleines de bandages.

- Tu ferais bien de filé avant que mes os aient repoussés Dobby, ou je risque de t'étrangler ! Dis-je hors de moi.

- Dobby est habitué aux menaces de mort. Dobby en reçoit 5 fois par jours à la maison. Me dit-il en descendant de mon lit.

- Et bien sûr, tu ne peux pas me dire pourquoi tu as essayé de me tuer ? Demandais-je.

- Pas de vous tuez monsieur. Pas de vous tuez. Dobby se souvient comment c'était avant que Harry Potter triomphe de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcé-le-nom. Nous les elfes de maison étions traités comme de la vermine monsieur. Oh bien sûr, Dobby est toujours traité comme de la vermine. Aaaah ! Aaaah ! Me raconte-t-il en commençant a pleurer. Puis il se mouche avec sa robe. Enfin, plutôt son espèce de draps tout sale.

- Pourquoi tu t'habilles avec cette chose ? Lui demandais-je.

- Ça monsieur, c'est le signe de l'esclavage des elfes de maison. Dobby ne sera libre que si son maître lui fait cadeau de vêtements. M'explique-t-il. Puis on entend un bruit et il remonte sur mon lit. Il se met à chuchoter. Écoutez ! Écoutez moi ! Des choses épouvantables vont bientôt se produire à poudlard. Harry Potter ne doit pas rester ici, maintenant que l'histoire est sur le point de se répétée. Me dit-il.

- Se répétée ?! Tu veux dire que cette chose s'est déjà produite ?! Demandais-je.

- Oh ! J'aurais pas dû dire sa ! Aïe ! Méchant Dobby ! Il commence à se frapper.

- Dobby ! Dobby ! S'il te plaît, sa suffit ! Arrête Dobby ! Je lui enlève la bouteille, avec la quelle il se frapper, des mains et le prend par le col de sa...robe. Maintenant répond moi ! Quand est-ce que ça c'est déjà produit ? Qui est-ce aujourd'hui ? Lui demandais-je.

- Dobby ne peut pas le dire monsieur. Dobby veut seulement que Harry Potter soit en sécurité. Me répond-t-il.

- Non Dobby ! Dit le moi ! Qui est-ce ? Demandais-je mais il claque des doigts et disparaît.

- Harry ? A qui tu parlais ? Je me tourne et vois Cassy, assise sur son lit et me regardant bizarrement. Puis j'entends un autre autre bruit.

- Vite allonges toi ! Lui dis-je.

- Quoi- Elle commence à dire mais en voyant des ombres arriver elle s'allonge et ferme les yeux.

- Mettez le la ! Dit madame Pomfraiche. Que c'est-il passé ? Demande-t-elle ensuite.

- C'est une nouvelle agression. Répond Dumbledore.

- Je crois, oui je crois qu'il a était pétrifié, Madame Pomfraiche. Peut-être a-t-il réussi à prendre une photo de son agresseur ? Dit McGonagall. Puis j'entends comme une sorte de mini-explosion.

- Oh ! Qu'est-ce ça signifie Albus ? Demande McGonagall.

- Ça signifie, que nos élèves courent un grave danger. Lui répond le directeur.

- Que dois-je dire aux autres professeurs ? Dit McGonagall.

- La vérité ! Dites-leur que poudlard n'est plus un endroit sûr désormais. C'est ce que nous redoutions Minerva ! La chambre des secrets a bel et bien était ouverte de nouveau.» Répond Dumbledore.

PDV Cassy :
On est dans les toilettes des filles. Ceux où se trouve Mimi Geignarde. Hermione est en train de préparer le polynectar. Il y a donc Hermione, Jane, Harry, Ron et moi. Harry nous a expliqué ce que Dobby, un elfe de maison, lui a expliqué hier soir. Je me disais bien que je l'avais entendu parlais avec quelqu'un. Enfin bref.

«- De nouveau ? Alors la chambre des secrets aurait était ouverte dans le passé ? Demande Hermione.

- Bien sur ! Réfléchis ! Lucius Malfoy a du l'ouvrir quand il était élève ici. Et l'aura dit à Drago comment on fait. Dit Ron.

- Possible ! Mais il faut attendre d'avoir le polynectar pour en être sûrs. Dit Hermione.

- Éclaire moi ! Pourquoi on prépare cette potion en plein jour ? Au beau milieu des toilettes des filles ? On risque de se faire prendre ! Demande Ron.

- Pas du tout ! Dis-je en rigolant.

- Sa risque pas ! Rigole Jane.

- Non ! Personne ne vient jamais ici. Dit Hermione en rigolant aussi.

- Pourquoi ? Demande Ron.

- Mimi Geignarde. Répondis-je.

- Qui ? Demande Le Roux.

- Mimi Geignarde ! Répète Hermione.

- Qui est Mimi Geignarde ? Redemande Ron.

- Je suis Mimi Geignarde ! Crie un fantôme, une fille avec deux couettes, en sortant des toilettes. Puis elle s'éloigne. Sa ne m'étonne pas que tu ne sache pas qui je suis, qui aurait envie de parler de de l'affreuse, de la malheureuse Mimi qui broie toujours du noir ? Dit-elle en faisant une moue malheureuse. Aaaah ! Crie-t-elle en se jetant dans les toilettes.

- Elle est légèrement susceptible. Dit Hermione.

La princesse des serpentards Où les histoires vivent. Découvrez maintenant