In the rain ( EN RÉÉCRITURE)

Chapitre 3

Billie était endormie depuis quelques secondes maintenant. J'avais "appris" à la connaître, en dehors de sa musique, en dehors de Billie Eilish. Elle m'avait fait connaître Billie O'cconnel. À premier rebord, je dirais que Billie est une fille sensible, passionné et très authentique. Elle donne beaucoup, et s'attend souvent à rien recevoir de la part des gens.

Elle m'avait montrée des photos de son frère Finneas, ces chiens, Shark et Peaches qui étaient adorables. Elle semblait beaucoup aimer les animaux et j'ai pensé au moment où j'allais lui dire que j'étais carnivore.

Je m'étais levé pour aller vers mon piano. Je l'avais posée dans une pièce, pas où presque pas éclairée, seulement des Leds. J'aimais y jouer et y laissait uniquement la lumière de ma fenêtre m'éclairer. Quand il fessait noir, j'allume une petite lampe, c'est ce que j'ai fait. Je me suis assise et j'ai glissé mes mains sur les touches. Un sourire s'accrochait sur mon visage.

J'aime le piano. Les notes du piano révèlent les émotions les plus profondes, exprimant la tristesse qui résonne en moi. Je n'ai pas besoin de tout dire, j'ai juste à jouer et d'un coter cela me rassure. Je n'ai jamais été le genre de personne à se confier aux gens. Je ne sais simplement pas le faire.

J'ai toujours aimé la solitude. Je n'ai pas de mal à l'accepter.

La solitude est comme une douce brise qui caresse l'âme, nous rappelant notre capacité à nous épanouir en notre propre compagnie. Je n'ai pas vraiment besoin de quelqu'un pour m'épanouir.

J'ai commencé à jouer une jolie musique, laissant à peu près toutes mes émotions glisser sur mes doigts, le bruit de la pluie qui claque aux fenêtres, le bruit des feuillages.

Parfois, je me retrouve assis seul, perdu dans mes pensées devant ce piano. Je parle à la solitude, lui racontant mes joies et mes peines. Elle devient mon confident silencieux, écoutant attentivement chaque mot que je prononce. Dans ces moments intimes, je découvre une connexion profonde avec moi-même, apprenant à me connaître davantage. La solitude peut être à la fois apaisante et introspective, une période précieuse pour se retrouver et se redécouvrir.

Entre autres, je n'ai jamais eu de figure parentale. Je n'ai jamais su ce qu'était réellement une "famille".

Quand je pense à ma vie sans parents, je ressens un mélange d'émotions. C'est difficile de ne pas avoir cette figure parentale, mais cela m'a également rendu plus fort et indépendante. J'ai appris à me soutenir et à trouver ma propre famille, que ce soit à travers des amis proches ou des mentors bienveillants. La vie peut être difficile sans parents, mais je suis reconnaissant d'avoir développé ma propre force intérieure et ma capacité à créer des liens significatifs avec les personnes qui m'entourent.

J'ai toujours été élevée par une fille bienveillante, nommée Élisabeth, c'est grâce à elle que je suis ce que je suis aujourd'hui. Et j'ai eu de la chance de l'avoir à un moment de ma vie ou j'étais vraiment perdu. Elle est apparue de nulle part et ma promis le bonheur. J'ai vécu avec elle, toute ma vie, jusqu'à mes dix-huit ans. Elle m'a appris la musique, son langage soutenus et ces manières aristocratiques.

Elle était absolument la seule personne au monde que j'ai connu, qui m'a autant fasciner. J'ai tout de suite voulu être comme elle, j'ai voulu être à son image. Je voulais la prendre comme exemple et je l'ai fait.

Elle me manque. Il n'y a pas une minute où elle ne le fait pas. Mais la mort est une réalité inévitable de la vie.

J'ai arrêté les notes de musiques et j'ai pris une grande respiration.

Si je ne l'avais pas connu, je serais une tout autre personne. Et honnêtement, je ne veux pas être cette personne naïve, bête, malheureuse et insouciante que j'ai été avant de la connaître.

— tu joues bien du piano. Une voix me coupait et je me suis retournée pour voir Billie. J'ai souri.

— merci, désolée de t'avoir réveillée.

— tu rigoles ? C'est la meilleure réveille de ma vie. Je lui ai fait signe de venir et elle s'est assise à côté de moi sur le siège. Comment est-ce que tu sais jouer comme une pro ? A tu pris des cours ?

— Quelqu'un m'a apprise. J'ai souri. Est-ce que mademoiselle pop star, c'est jouer du piano ?

Elle roula des yeux au surnom, ce qui m'a fait rire.

— pas aussi bien que toi, mais elle le fait. Elle a sorti les mains de ces poches. Je peux essayer, mais je t'avertis, je suis narcissique alors ce sera une de mes chansons.

J'ai rigolé et acquiesçait.

— Qu'est-ce que mademoiselle va nous jouer aujourd'hui ? J'ai fait un poing avec ma main pour faire genre que c'était un micro et je l'ai ramenée vers elle.

Elle a rigolé et à racler sa gorge, prenant une voix horrible de gas.

— hotline bling. Un son qui n'est jamais sorti.

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Hey hey hey

Excusez-moi pour l'absence de 110 ans.
J'étais vraiment occupée.
Je vous laisse avec ce chapitre et comme d'habitude

Je corrigerai les fautes d'orthographe plus tard prommmmmiis 💋