Chapitre 2

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Le corps de kyela a gardait des traces de cette événement, le côté de sa machoir, son cou et son épaule droite sont belle et bien brûler. C'est cicatrisé resterons a vie. Pendant 2 longs mois, elle fut dans le coma lui a t'on expliqué, ce qui a permis de la soigner et de lui faire des greffes de peau, mais cela fut insufissant. En tout et pour tout, elle est restée 4 mois a l'hopital et a peine sortis ses parents avaient deja commencer a faire les cartons.
Cette fille, actuellement, est en hôpital psychiatrique, et elle n'est pas prêtre d'en sortir pour l'instant. Apparament, elle souffre démence, de trouble de la personnalité , d'impulsivité et tant d'autres. Le pourquoi du comment, de l'acte abominable qu'elle a commis lui est encore inconnu, Caroline a refusé de dire quoi que ce soit à la police.
"Kyela, tu as faim ?" Demanda la mère de la jeune femme la tirant de ses sombres pensées.
"Il est déjà midi ?" Demanda-t-elle, en regardant l'heure sur son téléphone, cela arrivait souvent quand elle se rappelle de tout ça, le temps lui échappe et impossible de le rattraper. "Oui, j'ai un peu faim, mais ça peut attendre" répondit elle a sa ma mère en fixant mes écouteurs à mes oreilles. Kyela fit retentir un air doux mélodieux de piano , ce qui la détendit immédiatement,et les légères secousses de la voiture la berça tout doucement jusqu'à que le sommeil lui s'empara de son être.

Sa mére la réveilla quand ils arrivèrent à destination, a demi-réveiller, kyela sortis avec difficultés de la voiture. Une petite maison pavillonnaire blanche avec un petit porche avec une balancelle a l'avant, des volets bleus ornée toutes les fenêtres de la maison qui se dressait devant la petite famille. Les déménageurs avaient déjà commencé à décharger le camion et a tout installé à l'intérieur. Son père les a rejoint immédiatement pour les aiders.
Mère et Fille observèrent les environs, des maisons avec des styles différents ornés leur rue. Certaines avaient des briques, d'autre ressembler à des chalets que l'ont retrouve dans la montagne.


"Au moins ce quartier ne manque pas d'originalité" conclue Flora Robbs et pointa du doigt un arrêt de bus un peu plus bas dans la rue " Ton arrêt de bus est là , mais si tu préfère tu pourras te rendre au lycée à pied , il n'est qu'a 20 minute de marche " l'informa sa mére qui se dirigea vers l'entrée de la maison.
Entre marcher tranquillement et se retrouver entourer de monde qui la dévisagerai, la jeune fille fit vite son choix.
Quelques heures plus tard, après de nombreuses aller et venu dans la maison, les déménageurs avaient enfin terminé leur travail de façon très efficace, les meubles principaux avaient déjà trouver leur place. Le salon salle a manger ne faisaient qu'une seule et même pièce qui se trouvait la gauche de l'entrée de la maison. Le salon se trouvait prés de la fenêtre qui donner sur un petit jardin avec en sont centre un pommier dont les feuilles perdaient déjà leur éclat l'approche de l'automne.La salle a mangé se trouver prés de la fenêtre qui donnait sur la rue, pas de risque de vis a vis , il y avait une petite foret juste en face de leur maisons.
Kyela décida d'aller faire connaissance avec sa nouvelle chambre. L'escalier se trouvait juste en face de la porte d'entrée, elle gravit les marches de celui-ci et tourna de suite sa gauche pour s'engager dans le petit couloir qui mene sa chambre. La pièce était légèrement plus petite que celle a Callsville, mais cela ne déranga pas la jeune femme.

" Un lit, une armoire, un bureau, c'est amplement suffisant" pensa t-elle en s'asseyant sur son lit, mais fut prise d'effroi quand elle vit à pied de celui-ci un carton avec écrit dessus "Matériel d'art". La tétanie s'empara de son corps, des sueurs froides lui parcourus le dos et des flash de cette fameuse soirée lui revint en tête. Elle se revit en train de peindre un tableau qui avait comme nom "Ciel et terre" quand soudain Caroline arriva. Les flashes défilèrent de plus en plus vite devant ses yeux, la douleur de sa peau qui carbonisait formant des centaines petites cloques qui éclataient les unes après les autres, la sensation de la fumée qui étouffait ses poumons, détresse.
Kyela s'effondra au sol le corps pris de tremblement incontrôlable, ses larmes coulées sans qu'elle ne puisse rien y faire, ses poumons chercher a aspirer de l'air, mais c'étais comme si une pierre était poser sur sa poitrine ... Un hurlement sortis de sa gorge, ce qui alerta Joe et Flora qui montèrent les escaliers à toute vitesse.
"Kyela " Cria sa mère en se précipitait sur sa fille pour la prendre dans ses bras, et remarqua ce qui avait causer ceci, elle fit un signe de tête a son mari qui comprit immédiatement et sortit le carton de la chambre pour aller le range dans le grenier. Flora berça sa fille tout en lui caressant les cheveux. Elles restèrent comme cela une bonne vingtaine de minutes. Les tremblements commencèrent à se calmer et la jeune fille reprit peu à peu ses esprits.


"Je suis désolé" dis t-elle à sa mère qui la serrer toujours dans ses bras. " Ce n'est rien " lui reponda t-elle " Je n'ai pas était voir ta chambre avant que tu n'y ailles pour vérifier s'il n'y avait pas d'objet qui te rappelle tout ça.."Et long silence suivi, alors que mère et fille étaient toujours dans les bras d'une et l'autre.
La voix de Joe tonna depuis la cuisine " Mes dames, il est l'heure du repas " .
Après un repas partagé en famille, la jeune femme retourna dans sa chambre la boule au ventre de peur d'avoir de nouveau de mauvaises surprises, mais ce ne fut pas le cas. Ses effets enfin rangés, la jeune femme prépara ses affaires pour demain, le jour qu'elle redouté le plus : sa rentrée.


Commment les éléves aller la traiter ? Les professeurs allées t-il être correcte ?
Tout un tas de question envahit son esprit, ce qui l'empêcha de trouver le sommeil pendant un petit moment. Allonger sur lit qui est face à la fenêtre qui donnait sur le jardin, la jeune femme s'imagina mille et un scénario avec toute sorte de fin." Vos mieux imaginés le pire de suite plutôt que d'espérer" se dis la jeune femme en tournant sa tête vers son réveil poser sur sa petite table de chevet à côte du lit, celui-ci indiquait "3 h 00 MAT". Un soupire de lassitude sortie de sa gorge et refixa de nouveau le plafond.
Le sommeil la rattrapa peu de temps après sans qu'elles ne s'y attendent.

Les larmes du PhoénixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant