Chapitre 1

13 2 1
                                    


Le bruit d'un feu crépitant regner a l'intérieur et l'extérieur de l'abitacle, le même bruit qu'une cheminée allumer en plein soir d'hiver pour se réchauffer. Malheureusement la douce chaleur réconfortante que l'on devrait sentir sur notre peau à ce moment-là, lui brûler et carboniser la sienne.
Une douleur vive lui fit ouvrir les yeux, non sans difficulté, ceux-ci allaient de droite à gauche sans cesse pour connaître l'origine de ce mal qui l'affublait. Ce qu'elle vit au départ, fut comme un magnifique coucher de soleil, quand le bleu du ciel laisse place à un beau orange flamboyant. Malheureusement, ces couleurs étaient liées au feu qui se propageait autour d'elle, dans son atelier. Les toiles, les sculptures et le matériel de création partaient en fumée. La peinture sur les toiles crépités et les sculptures fondaient ce qui leur donnait un côté cauchemardesque.
Son corps lui faisait mal, mais en particulier son cou, le bas de sa mâchoire et son épaule droite qui était beaucoup plus douloureuse que le reste, cela était insoutenable, mais la jeune femme était incapable de crier, de bouger, de se battre pour vivre. Allonger sur un tas de cendre, Kyela attendait avec hâte la fin de son agonie qui tardait à venir. Son enveloppe charnelle avait renoncé à se battre, mais l'esprit de la guerrière qui sommeillait en elle ne voulait pas abandonner. Elle voulait vivre, mais celle-ci était elle arrivé a son terme ? De sombres pensées envahissaient son esprit, allait-elle finir brûler vive ? Finir écraser la toiture qui va d'un moment à l'autre s'effondrer ?
À travers le bruit assoudissant des flammes qui ronger petit à petit la structure, ce paradis qu'elle avait tant chérie , ce transformant petit à petit en enfer. Une voie traversa ce vacarme et qui hurla avec haine :
- Crève !
Et une porte claqua. Ce bruit raisonna dans les oreilles de kyela comme une torture, le bruit, sa fin. La fumée se fit de plus en plus dense, ses poumons était douloureux à force de respirer l'air contaminer, sa tête tourner de plus en plus. Une larme solitaire glissa le long de sa joue, cela sera peut-être la dernière...
-"Aidez-moi... Au secours." Souffla Kyela désespérer avec sa voix étouffés alors que les ténèbres la ronger petit a petit, la faisait tomber peu a peu dans les abysses de l'éternité.
Les fenêtres éclatées les unes après les autres rependant le verre un peu partout, hachant à certains endroits sa peau fine. Les poutres ne tiendrais plus longtemps, et si tout s'effondrer, cet endroit deviendrai sa tombe.

Le bruit d'une porte s'ouvrant avec fracas arriva dans les oreilles de la jeune femme à demi-consciente.
Soudain, un visage dont elle ne réussit pas à voir les traits fit son apparition au-dessus du sien. Une voix masculine lui dit avec douceur "Tiens bon " alors qu'elle sentis sont corp flotter dans les airs ,tout devins sombre.
Voilà le seul souvenir distinct qui lui restait...


Kyela Robbs mirent le dernier cartons dans le camions de déménagement avec hate car elle n'avait que une envie : quitter au plus vite cette ville maudite et ses habitants sortis des enfers, qui eux ne rataient pas une goutte du départ presque imminent d'elle et ses parents. Tous regrouper comme moutons a observer ce qu'il se passe, en faisant des commentaires peu élogieux à leurs égards. La jeune femme réajusta sa capuche pour se camoufler convenablement le haut de son visage ainsi que son foulard qui faisait comme un masque sur le bas de celui-ci. L'habitude de se cacher a pris une grande place dans sa vie, après tout que faire d'autres quand on se sent défiguré, comme un monstre.
"Kyela, on y vas" lui tonna sa mère en ouvrant la portière côté passager. Flora Robbs observa la foule avec colère, et se retiens de prendre le tuyau d'arrosage qui traînez sur la pelouse a l'avant de la maison pour les arrosers. Depuis quand observe-t-on des personnes qui ont vécu de malheur évenement et prendre un nouveau départ comme si ils etaient des betes de foire pensa t-elle.
" Aller, ma puce, quittons cette ville de malheur" dit son père elle la poussant gentillement vers la portiére gauche de la voiture, avant de l'ouvrir et l'invité a s'installer. Kyela regardait une dernière fois la maison, qui l'avait vue grandir, vivre des moments de joies, de colére, et surtout de tristesse. "Bon vent" se dit elle.
Tout le monde s'installa dans le plus grand des calmes, et Joe Robbs démarra la voiture. La foule fit comme une allée d'honneur pour les laissés passer.
"Quelle bande d'hypocrite" marmonna-t-il avant d'accélérer et de prendre la route pour de bons.

" Adieu CALLSVILLE" se dit la jeune femme en voyant les rues où elle avait longtemps trainer avec ses sois disant amis, qui l'avait rejeter après cette catastrophe, défiler devant elle. Un sentiment libérateur se propageait peu à peu dans son cœur, mais également la peur, la peur d'arriver dans cette nouvelle ville ou elle ne connaissais personne, peur des moqueries du a ses brûlures.
Le plus marrant avec les cauchemars, c'est que la plupart du temps, ils sont vrais. Kyela a étais victimes d'une tentative de meutre par sa meilleur amie, Caroline Fox. Celle-ci lui avait rendu visite à son atelier, après l'école, et... a mit le feu l'atelier que ses parents loués pour qu'elle puisse s'entraîner à peindre et l'as enfermé dedans. Un sentiment libérateur se propageait peu à peu dans son cœur, mais également la peur, la peur d'arriver dans cette nouvelle ville ou elle ne connaissais personne, peur des moqueries du a ses brûlures. Son sauveur l'avait sortir de cet enfer et l'a poser un peu plus loin , a appeler les secours et c'est évanouie dans la nature.

Les larmes du PhoénixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant