Chapitre 3

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Le bruit assourdissant de son réveil qui était programmé à 7 h MAT sortit la jeune femme de ses songes, non sans difficultés. Kyela ne faisait pas partie des personnes quit sontdu matin, elle a du mal a émergé et est un peu ronchon. La couverture vola a l'extrémité du lit et la jeune femme se leva de celui-ci un peu désorienter. Ses longs cheveux roux, qui lui arrivaient en bas de ses reins, étaient en bataille, ses yeux légèrement gonflés et mi-ouvert peiné a accepté la lumière.
Dans un soupir de lassitude, la jeune femme prit les affaires, quelle avait préparer la veille pour se diriger vers la salle de bain qui était la porte juste a face de la sienne dans le petit couloir. Elle posa ses affaires sur le coin du lavabo, et déshabilla en vitesse pour profiter d'une bonne douche revigorante.
L'eau chaude sur son corps lui fit le plus grand bien, cela lui détendit ses muscles contractés par le stress de cette journée qu'elle redoutait tant. Kyela avait peur d'être la nouvelle attraction de son lycée, après tout une fille qui intègre un lycée seulement en deuxième année alors que tout le monde se connaît déjà depuis la première cela donne lieu à un certains divertissement, surtout si cette personne agit et s'habille de façon étrange.
Décidant qu'il était tant de sortir de sa douche, la jeune femme s'essuiya en vitesse et enfila le style de tenu qu'elle avait adopter depuis qu'elle fut sortis de l'hopital, c'est-à-dire, un sweat-shirt a capuche noire, un colle roulé qui monté bien jusqu'en haut du coup et jean noir. Sa brûlure au niveau de sa mâchoire était légèrement moins rouge que celle dans son coup et son épaule, ce qui lui permettait de la camoufler a moitié avec du fond de teint meme si on pouvais la deviner en transparence de celui ci.
"Kyela? Tu as bientôt fini ? Dépêche-toi sinon tu n'auras pas le temps de déjeuner" lui tonna sa mère du bas des escaliers. Cette intervention la ramena a la réalitée et lui noua l'estomac faisant disparaitre la faim.
Une fois sortis de la salle de bain et ayant rejoint sa mère en bas des escaliers, les deux femmes se dirigèrent dans la cuisine pour prendre le petit-déjeuner. Comme la jeune femme s'en douter rien ne passa. Elle prit son sac qui était prés de la porte d'entrée pour le mettre sur son dos et enroula son écharpe autour de son cou pour ensuite rabattre sa capuche sur sa tête. Elle fixa la poignée de celle-ci, comme si cela lui demander un effort utilme pour l'actionner. Flora arriva derrière sa fille et posa sa main maternelle sur son épaule.
"Si tu veux on peu décaler le jour de ta rentrée a la semaine prochaine" proposa-t-elle dans l'espoir de consoler un tant soit peu sa fille qui se retourna vers elle pour lui offrir un regard plein de gratitude " Merci maman, mais ... même si cette journée arrive plus tard ça saura quand même la même chose , si ce n'est pire"

Les larmes du PhoénixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant