Tome 1: S'aimer après s'être détesté

Chapitre 13 (à corriger)

Un an après...

Maëlya était en train de faire les cents pas dans sa chambre un livre dans une main et l'autre dans son dos pour s'aider à se soutenir.

Cela faisait maintenant 1 an qu'elle et Loki régnait sur Asgard. Tout était paisible pour tout le monde, chaque semaine il y avait une fête d'organiser dans le palais pour des raisons parfois inexistante. Mais cela plaisait beaucoup à la nouvelle Reine, qui bientôt allait accueillir un petit prince. Et oui. Maëlya était enceinte de bientôt 9 mois. Vous vous rendez compte ? En si peu de temps, ils avaient réussi à installer leurs routine à eux, sans que personne ne les gènes.

Beaucoup dans le peuple se demandait comment elle pouvait gérer cette grossesse.

Après tout, ce n'était qu'une simple Midgardienne et Loki un Asgardien, le roi qui plus est. Mais ce qu'ils ne savent pas ne peuvent pas leur faire de tord non ?

Cela pourrait peut-être être légèrement titillant mais un peu contre son gré, elle était devenue une Asgardienne. Comment ? Personne n'a d'idée là-dessus, même pas Loki, qui avait essayé mainte et mainte fois de la rendre Asgardienne avant sa grossesse. Ce bébé était arrivé rapidement, mais tous deux en étaient très heureux. Une petite vie parfaite s'installait dans leur quotidien et cela leur plaisait beaucoup.

— Quand est ce qu'il va arrêter de bouger ? Il n'est même pas encore né qu'il est déjà hyper actif. Il me fatigue déjà.

Elle va s'asseoir sur le lit histoire de ne pas tomber au sol.

Une nausée lui pris, elle resta là, pâle et mal. Sa grossesse avait été facile. Mais depuis peu, elle ne pouvait plus rien avalé sans que ça ne revienne dans les toilettes.

Depuis que Loki était roi, Maëlya avait pu aller voir sa famille quand elle en avait envie et vivre sa vie pleinement. Ses parents avaient été surpris de la grossesse rapide de leur fille mais n'avait étonnement opposé aucune réticence, ni aucun étonnement quand elle leur a dit qu'elle était mariée. La sœur de Maëlya allait nettement mieux, après de vraie opération réussie. Maëlya pouvait donc rester sur Asgard sans se soucier de la santé de sa sœur. Vivre et être heureuse sans problème.

Loki entra furieusement dans la chambre, il devait sûrement y avoir un problème avec la gestion de quelque chose, on ne sait pas vraiment quoi. Sa femme le regarda et s'approcha doucement de lui. Certes, elle se leva du lit difficilement mais, être près de son mari la calmait elle et surtout le bébé, mais aussi cela calmait Loki. Quand ils étaient ensemble, ils sont heureux.

— Quelque chose ne va pas ?

Elle lui prend doucement les mains et le regarde. Avec le temps, Maëlya avait l'habitude de voir des crises de nerfs de la part de son mari et avait appris à les gérer.

Elle passe une main dans ses cheveux et lui sourit doucement. Pour une raison qu'elle ignore son sourire le fait se calmer à chaque fois. Il tomba dans ses bras et ne dit aucun mot.

— Je suis là pour toi Loki, tu le sais non ? Je pense qu'après 1 an je te l'ai assez montré.

— Je le sais ma belle.

Il embrassa sa femme tendrement et ils restèrent là à se câliner. Pour une raison qu'ils ignorent tout deux, ils étaient devenus le genre de couple que nous pouvions voir partout dans les films, dans les séries et dans les livres d'amour. Les époux s'aimaient, ils se le disaient et se le montraient tous les jours.

Le soir tomber, les deux allèrent dans leur lit et comme chaque soir, Maëlya fit la lecture à Loki. Et comme chaque soir le couple s'endormit après quelques chapitres, voir quelques lignes.

L'amour qui s'était installé entre les deux, avait étonner beaucoup de monde et encore plus les deux concernés.

Quelques mois plus tard :

On pouvait entendre un bébé pleurer dans la chambre de Loki et Maëlya, il devait être environ trois heures du matin quand les pleures s'étaient fait entendre. Loki soupira et rassura sa femme. Il alla prendre le bébé dans ses bras. Jamais avant la naissance de sa fille il n'aurait cru avoir envie d'être papa ou même d'aimer quelqu'un autant qu'ils s'aiment.

Eh oui c'est une fille. Tous avaient pensé que Maëlya allait donner naissance à un fils. Mais pourtant, Loki était heureux d'avoir un enfant.

Il commence à la bercer et chaque soir et à chaque fois qu'elle pleurait, il lui disait une chose :

— Ne pleure pas ma belle, un jour tu seras reine et tout sera à toi. Je peux te le promettre.

Et elle arrêta miraculeusement de pleurer....

La reine se redressa et regarda son mari avec leur bébé dans les bras.

— Vous êtes vraiment mignon tous les deux. Puis, je crois qu'un jour elle te tuera pour accéder au trône si tu continues de lui dire qu'elle l'aura. Je suis sûre qu'elle aura ta détermination.

— Même si elle te ressemble, elle aura mon caractère. Il ne faut pas espérer autre chose. Du moins, je n'espère pas.

Il alla s'asseoir dans son lit à côté de sa femme en tenant toujours sa fille dans ses bras. Maëlya déposa un baiser sur le front de sa fille en la regardant. Sa vie était magnifique ses temps-ci. Elle aimait son mari, elle aimait sa fille à qui elle avait donné un nom qu'elle adorait : Elie.

— Tu crois qu'elle tiendra vraiment de toi Loki ? Je suis sa mère tout de même. Et les filles tiennent souvent de leurs mère !

Elle rit légèrement en prenant sa fille dans ses bras. Elle chantonne doucement, Elie avait beau être calmé, elle ne dormait tout de même pas.

— Tu sais que j'aime t'entendre chanter. Tu as une voix fabuleuse.

Sa femme sourit face à ce compliment. Certes, elle en recevait beaucoup depuis un an mais cela la faisait toujours sourire. Elle alla déposer sa fille dans son berceau puis retourna près de son époux. Elle se glissa dans ses bras et déposa quelque baiser dans son cou.

— On ne continuerai pas de dormir ? Je dois t'avouer que je suis fatigué.

Maëlya le regarda. Elle passa sa main dans les cheveux de son mari et lui sourit doucement.

— Tu es vraiment fatigué ces jours-ci, je ne t'ai jamais vu comme ça.

— Je le sais, je passe mes journées à corriger ce qui ne va pas. Notre armé veut toujours se battre, et, je n'en ai pas envie, pas pour l'instant en tout cas. On a notre royaume et il me suffit pour l'instant.

— Notre vie me suffit personnellement. Toi, Elie et moi. Vous me suffisez pour que je sois heureuse. Puis qui sait, on pourra peut-être avoir d'autres enfants. Si tu le veux évidemment.

— Oui, on en aura autant que tu le voudras. Mais, il faudra tous les traiter de la même façon. Je te dis ça pour être sûr que nous pensons la même chose là-dessus.

— Ils seront tous traité de la même façon. Je te le promets. Puis on sera deux pour les élever non ?

— Oui, on sera deux. Je serai toujours avec toi. Quoi qu'il puisse se passer.

Il se mit à son tour à déposer des baisers dans son cou. Maëlya sourit doucement et se laissa faire. Quelques baisers volés et quelque caresse suffirent à leur faire plaisir et à les combler.