Epilogue (à corriger)

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Elle était assise dans son petit endroit habituelle depuis les 5 dernières années, avec le temps quand nous restons toujours à la même place notre corps nous dis que cette endroit doit être confortable et que cette endroit doit être comme nous le souhaitons. Elle a fait cette endroit à son image, le plus éclairé possible, le plus féérique qu'elle pouvait même si cette endroit ne représente que la partie intérieur d'elle, la partie que personne à part elle ne peut voir. Mais après tout ce n'est pas comme si elle avait des amis ou même des personnes qui voulaient apprendre à la connaitre. Oui, elle se plaind de son sort, mais ce n'est pas la première fois que cela lui arrive, cela lui est déjà arrivé une ou deux fois un jour pendant qu'elle regardait le plafond. Elle ne pense pas avoir eu le temps autrement. Son regard se posa sur un sceau plus loin, l'odeur de ce qu'il contenait devenait insoutenable mais elle ne pouvait rien y faire, elle ne peut pas le vider avant 3 jours.

Aujourd'hui nous sommes Jeudi et le Jeudi est sa seul journée de répit. En effet, elle a souvent beaucoup de chose à faire, elle range la maison, elle la lave. Laver sécher et replier le linge n'a plus aucun secret pour elle. Elle fais aussi les compte, elle est étonnement doué en math pour une fille qui n'a jamais mis un seul pied dans une école assez longtemps pour pouvoir faire cela.

Son regard se posa sur la petite pile de livre posée sur une petite table de nuit qu'elle avait fait avec de vieilles caisses qui contenait avant des petits électroménager ou des tablettes ou ordinateurs, la plus part des boites elle les a trouvé dans le container à carton chez les voisins. Elle sait que pour les autres ça ne doit être très propre mais pour elle, ce n'est que la seule chose à faire parfois. Elle vous expliqueras bien pourquoi mais sur le coup, elle n'en a pas la moindre envie.

— Mary ! Hurla en homme au dessus des escaliers

On retire ce qu'elle a dis, le jeudi n'est plus une journée de répit. Elle se lève difficilement de son petit matelas et va au bas des escaliers.

— Oui monsieur? Demandai-t-elle.

— L'annonce a t elle avancer? Je ne supporterai pas que tu me répondes non. Dit il en descendant les escalier.

— Désolé monsieur mais personne n'est intéressé pour la

Et elle ne pu dire la suite de sa phrase. Elle garda ses larmes en elle et elle sentait sa joue brûler. Aujourd'hui est une bonne journée elle n'a mal qu'à la joue. Mais mieux vaut ne pas crier victoire trop vite n'est ce pas? Il remonta en colère.

— Je pars ce soir pour mon travail. Je reviens dans deux jours! Si cette maison n'est pas vendue je te pends par les pieds et je te laisse mourir comme ça!

Il claqua la porte. Elle essaye de se calmer, quand il est là elle se voile la face en se disant que ce n'est rien sauf qu'elle sait que c'est le contraire et ceci depuis bien longtemps. Elle regagna son petit endroit et elle y resta jusqu'à ce qu'elle entende son père quitter la maison avec la voiture. Et oui, l'homme qu'elle doit appeler monsieur est son père. C'est bizarre non ? Devoir appeler son père monsieur. Elle ne trouve pas cela très plaisant, avant, quand sa mère était encore en vie, elle ne devait pas l'appeler comme ça mais bon nombre de choses ont changé depuis cet instant là.

Deux jours, deux jours de liberté. Elle décide de monter au rez-de-chaussée de profiter de l'air frais et de la lumière. La cave ne dispose pas de fenêtre et c'est bien dommage. L'air n'est plus respirable ici.
Elle monte au premier étage et va s'allonger dans l'un des lits peut importe lequel. Elle prendra bien une douche plus tard même si elle sent vraiment mauvais, sa dernière douche remonte au mois dernier plus ou moins, quand son père est parti pour le travail. Elle se met sur le ventre et s'endors assez rapidement. 

Tome 1: S'aimer après s'être détestéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant