Voie d'homme au foyer

35

(Jimin)

— Tu me fais un massage ce soir ? S'il te plaît, ça fait si longtemps…

Je fais la moue avant de l'entendre pouffer.

(Yoongi)

— Bien sûr. Mais quand Meï aura mangé son assiette et qu'elle sera couchée.

J'embrasse sa joue.

— Mais t'inquiètes, même tard tu l'auras ton massage chéri.

(Jimin)

Je souris et le remercie avant de sentir les petites mains de Meï s'accrocher à mes jambes.

Je la porte et fait semblant de la manger pour la faire rire.

(Yoongi)

Je ris doucement puis je vais mettre la table en fredonnant.

Une fois que nous avons mangé, fait la routine du soir, Meï est au lit et une fois que nous sommes dans le lit, je m'occupe enfin du massage de Jimin.

— Ça fait du bien ou je suis devenu nul ?

(Jimin)

— Continue.

Je gémis de bien-être. J'étais si tendu, ça me fait du bien.

— Meilleure sensation de ma vie.

(Yoongi)

Je ris doucement et continue mon massage un bon moment. Ensuite, je vais me laver les mains, je mets une petite nuisette pour lui faire plaisir ce soir. Celle qu'il m'a offerte l'année pour le plaisir de ses yeux.

J'entre doucement et je le vois aussitôt se redresser, me faisant rire.

— Qu'est-ce qu'il y a ?

(Jimin)

— T'es beau.

Je lui fais un clin d'œil avant de me recoucher sur le ventre.

Je sens Yoongi me rejoindre avant de claquer mes fesses.

(Yoongi)

Je me mets sur ses fesses en donnant un petit coup de bassin. Cette action me vaut un grognement avant de finir surpris, me retrouvant sous lui et je ris simplement.

— Bah alors ? Toujours pas un dominé ?

(Jimin)

— Non. Fallait venir quand j'avais dix sept piges mon coco. Maintenant c'est trop tard.

J'embrasse sa joue en souriant.

(Yoongi)

Je grogne.

— Ouais, peut-être que j'aurais dû venir plus tôt au Japon pour venir te voir et te botter tes magnifiques fesses.

On rit doucement et je finis par l'embrasser en le tirant contre moi.

(Jimin)

— T'aurais pu, c'est vrai.

Je pose ma tête au creux de son cou avant de fermer les yeux.

— Je t'aime.

(Yoongi)

Je souris et caresse sa nuque avant d'éteindre la lumière, embrassant sa joue.

— Je t'aime aussi, mon petit poussin.

Je l'entends grogner, je ris doucement et on s'endort dans cette position. Au réveil, nous sommes sur le côté et Meï se faufile entre nous.