Elle,tu l'aimes,pas plus que tu m'aimes.
Mais,tu l'enlaces tout les soirs,dans ton manoir.
Et ce n'est que ton souvenir, qui m'inspire dans mes histoires,
Où je décris mon pire sans toi,
mes états d'âme,la même flamme.
Lire mes écrits, couchés dans mes cahiers,et les partager,
c'est comme-ci tu t'occupes de moi, comme je l'ai toujours désiré.
Je ne peux pas cesser de nous imaginer.
C'est de là que provient mon énergie,ce qui me donne l'envie, de vivre plus longtemps,en t'aimant toujours autant.
Elle,tu l'aimes,et tu me forces à vivre dans son ombre.
Pourtant dans notre histoire,j'aimerais nettoyer les décombres,qui nous séparent et dans les mêmes décors nous font fondre.
Je sais que tu m'aimes plus que je t'aime.
Mais,tu l'enlaces tout les soirs,et je meure de honte de le savoir.
Parfois,ton regard,ton sourire,me redonne l'espoir.
Quand je pense à mon avenir,je ne me sens plus dans le noir.
Car tu es la petite lumière,qui éclaire mes histoires, où, je décris mon pire sans toi,mes états d'âme,la même flamme.
Je ne cesserais de penser à toi, et au jour, où ce sera mon tour, d'être aimée,et enlacée par toi, comme tu m'aimes, autant que je t'aime.
Nsyapze Tchoffo Jacnique Abigael
