Chapitre Unique, point de vue T/p.
Ce n'était plus le monde que nous avions dû connaître, ce n'était plus que la guerre, partout autour de moi.
Les garçons avaient disparu au loin depuis plusieurs minutes peut-être même des heures, plus rien de ce qui m'entourait n'avait de sens.
Je me rappellais distinctement des derniers mots que Thomas accompagnée de nos amis m'avais dit."- T/p nous allons sauver Minho, ici et maintenant. Tu viens avec nous ?"
Son regards avait été sceptique, comme s'il doutait encore de moi, malgré ce que nous avions traversé.
Bien sûr que j'allais venir bon sang ! Sauver Minho était notre seul et unique but, j'aurais laissé ma vie pour celle de mon meilleur ami.Mais maintenant, je me trouvais au milieu d'une foule en guerre, d'un peuple révolté n'attendant plus les excuses et l'acceptation. Au milieu du peuple des condamnés, des infectés, j'entendais les hurlement furieux d'une population qui voulait vengeance. Les hommes, les femmes et même les enfants ne semblaient n'avoir plus rien d'humains à mesures que la foule avançait, éclairée par la lumière rougeoyante des torches enflammées et de lampes en piètre état.
Un homme debout sur une voiture était à la tête des contaminés. C'était un meneurs, un vrai leader malgré son visage pourrisant, et son corps vêtu de vêtements crasseux. Il était repoussant, dévoré par la Braise. Il ressemblait à si méprendre à un monstre de cauchemars malgré ses yeux brûlant d'un dévouement véritable. Je suivais le mouvement sans en avoir réellement le choix, dépassée par les événements qui se déroulait autour de moi.
Soudain la voix du leader s'élèva alors que le cortèges se stoppait brutalement. Je cherchais à avancer tant bien que mal entre les corps puant, pâle et transpirant. Je marchais sur des choses que mon cerveau refusait d'identifier, me démenant pour pouvoir arriver à la tête du cortège. Je fini par l'atteindre saisissant au vol les paroles du chef Improvisé.
"- Suivez moi ! Suivez moi et nous allons leurs montrer le visage de ceux qui ne pardonne plus ! Suivez moi et n'ayez plus peur ! Je ne suis pas l'ennemi, l'ennemi se trouve derrière ses murs ! Venez avec moi et montrons leurs le visage de ceux qu'ils appellent les fondus ! Une huées de voix se fit entendre à mesure que son discours était prononcé. Ce sont eux qui ont commencé la guerre, eux qui ont montés ses murs et se soir nous allons la terminer ! Rejoignez moi cette ville est à vous !"
Des cris triomphant et près à se battre rugissaien de la population, créant une cacophonie assourdissante. Une odeurs d'essence me brûlait les yeux et le nez sans que je n'arrive à clairement distinguer d'où elle pouvait bien venir. Entre ceux qui tenait des torches enflammées, les voitures en feu et les hurlements qui m'entouraient je ne savais plus où donner de la tête.
Soudain la voiture du chef se mit à avancer en direction de l'entrée, en direction des portes hermétiquement fermée. Il venait de promettre à une foule en rage une ville, mais quel était son plan ? Et d'un coup l'idée parue nette et distincte dans mon esprit.
Le chef se tenait sur un pick up a l'arrière étonnement large ou deux énormes bidons prônait à chacuns de ses côtés. Il tenait se qui ressemblait fortement à la lumière d'une fusée entre ses mains et une fois que nous atteignons la porte je ne pu finir mon cheminement de penser qu'il lâcha la fusée provoquant une explosion gigantesque. L'essence des bidons avait eu le temps de s'écoulait autour du véhicule laissant libre cours au flammes hardante dévorant avec ferveur le bâtiment.
Pendant à peine une seconde la population s'arrêta comme accordant cette seconde de silence au sacrifice qui venait de s'opérer sous leurs yeux, remerciant l'homme d'avoir donner sa vie pour leurs offrirs la possibilité de se battre. Puis reprenant vivement leurs esprits, refusant de laisser ce brave homme mourir pour rien, ils se remirent à avancer malgré le feu intenable vers le porte désormais réduites à néant. Leurs cris me déchiraient les tympans alors que je me retrouvais une nouvelle fois propulsée par le peuple vers ce qui me semblait être un bain de sang inévitable.
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L'émeute.
Fanfiction:C'était la fin du monde que nous avions connu, tout autour de moi ressemblais de plus en plus à une guerre sanglante qu'à la dernière ville tant promise. Et au milieu de tout se chao, j'étais seule à la recherche de mes amis, poussée par une popula...