mal de tête

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Plusieurs jours étaient passés , Les filles ne me calculaient plus, me jetaient des regards mauvais. Les autre étudiants me prenaient en pitié et ne supportait plus les filles, bref pour faire simple, mon plan avait marcher à la perfection.

Depuis le dernier message si on peut l'appeler comme ça des sorcières je n'avais eu plus aucune nouvelle, et je n'allais pas m'en plaindre. Tout rouler comme sur des roulettes. Mes résultats en combat et par rapport à mes pouvoirs étaient parfait. J'étais la chouchoute d'Andréa pour mes talents en combats, et celle de Rosalind dut à la petite parti de mon passée que je lui avait expliqué, plus le fait qu'elle pensait que mes colocatrices étaient détestable et que je contrôlais parfaitement mon pouvoir.

Aujourd'hui, à cause d'un incident ( multiples spécialistes ayant dénigrer les fées, comme quoi nous servions à rien) la directrice à décider que tous les spécialistes assisteraient à notre cour. Nous étions toutes d'un coter du cercle  de pierre et tous les garçons de l'autre. Nous passions chacune notre tour pour montrer nos pouvoirs et leur étendus aux garçons.

Après que tout le monde sois passée, la directrice me força quelque peut à passer, pas mal de garçon ricanèrent croyant que je possédais un pouvoirs inutile, alors que réellement je me concentrais surtout à empêcher mes trois bourreaux de rentrer dans ma tête.

Je me concentrais essayant d'arriver à trouver suffisament de force pour contrôler mes six autres pouvoirs, mais les sorcières ne voulaient pas laisser tomber. Les spécialistes ricanaient, et entre ma concentration et ça, mes nerfs étaient à rude. Je décidai d'ouvrir les yeux, et de chuchoter à Rosalind ce qu'il ce passer.

Elle me fit retourner m'asseoir et tous les spécialistes explosèrent de rire. Je me levai, leur lancer un regard noir, et partit du cour pour retourner dans ma chambre.

Je sentais un crise de perte de contrôle, ne voulant déranger, ni effrayer et encore moins faire du mal à quelqu'un je choisi d'aller dans la forêt.

Je savais pertinemment que c'était fortement déconseillé à cause de la dangerosité de ce lieux. Mais je préférais mille fois mourir en protégeant des personnes, que vivre mais mettre encore une fois la vie de gens en danger.

Après un moment j'ouvrais mes yeux, je vis l'herbe qui m'entourer cramoisie. Soudainement je sentis quelque chose me lacérer l'épaule.

Je pu reconnaître la douleur au moment même ou je commençais à le ressentir. Mon instinct de survie pris le dessus et je mis à courir.

Une fois derrière la barrière magique je m'arrêtai, le brûler ne pouvait normalement pas passer, sauf si c'était un des mutants des sorcières.

Malheureusement pour moi, c'était un mutant, il la  franchit les gens au tour de moi crièrent, ce qui attira la directrice vers nous.

Elle courrait vers moi tandis que les autres me crier de m'en fuir. Malheureusement, j'étais tétanisée. Le griffeur me griffa encore une fois, mais aucun son ne sorti.

Puis il disparu, comme si il n'avait jamais été là. Je me tournai prête à remercier la directrice quand je vis qu'il n'y avait personne.

Tous les regards était sur moi, je venais, rien qu'avec ma peur de tuer se monstre.

Je me levai mais la douleur lancinante dans ma tête ne s'arrêtait pas. Je tombai lâchement sur mes genoux hurlant ma souffrance, qu'elle soit physique ou mentale.

Oui parce que en plus de mon mal de tête, j'avais subit deux assauts de ce griffeur. Et revoir cela avait fait remonter de mauvais souvenir.

La directrice arriva enfin et me pris dans ses bras. Je laissai couler mes larmes qui n'était autre que de la douleur, de la tristesse, de la crainte, de l'épuisement total et multiple autre chose.

Je ne sais combien de temps nous sommes restée dans cette position, mais je séché rapidement mes larmes avant de me relever doucement.

Une fois arrivé dans l'appartement que je partageais avec les filles, leurs regards se dirigèrent vers moi. Leurs yeux étaient pour je ne sais quelle raison remplis de larmes. Elles avancèrent vers moi, surement pour me faire un câlin. Cependant, avec un regard je leur fit comprendre que je n'en voulait guère de leur étreinte.

Je partis m'en fermée dans ma chambre, je savais d'autant plus que je ne serais pas capable de dormir. Tout ça avait fait remonter de très mauvais souvenir.

La suite demain. Bizz Caly

Fate: la saga Winx le destin de calyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant