Fate: la saga Winx le destin de caly

Cours

PDV Caly:

A cause de ces stupides points de sutures que le professeur Harvey ma fait, je ne peux plus faire les cours avec Andréa.

Du coup j'en profite pour avoir plus de facilité à utiliser un seul de mes pouvoirs. Effectivement à la fin de la journée j'ai souvent d'affreux mot de tête.

Là, ils ont tout entrain de combattre des hologrammes de griffeur tandis que moi je suis assise sur mon lit à améliorer mes pouvoirs, ma résistance et mon endurance.

Riven vient me voir un peu tous les jours, et plus il vient, plus il compte pour moi. Et ça c'est un gros problème. Je ne peux pas m'attacher à quelqu'un, c'est impossible. Mais pourtant, je sais que si il ne venait pas me voir, je serais déçu.

Il m'était de plus en plus difficile de contrôler mes pouvoirs. J'ai peur que quelqu'un les découvres et que je revive ce que les sorcières m'ont fait subir.

A cause de la peur, je mis fin à mon entraînement, on ne sait jamais si quelqu'un rentre dans ma chambre. Et c'est comme ça chaque jour. Comment voulez vous que je m'améliore si je m'arrête au bout de vingt minutes? C'est juste insupportable.

Je décide donc de sortir me promener. Instinctivement je me retrouve devant l'endroit où le cours de combat se déroule. Je m'assois sur l'herbe et je les regarde s'entraîner envieuse de ne pas être à leur place.

Soudain je sens une présence s'assoir à mes côtés. Puis cette présence me pris dans ses bras. Pas besoin d'être un génie pour savoir qu'il s'agit de Riven. Et comme d'habitude, je me sens bien dans ses bras.

Sauf que le professeur Andréas a hurlé au spécialiste qui était à mes côtés de se remettre à l'entraînement au lieux de glander.

Je l'ai regardé et je dois admettre qu'il se débrouille bien. Bon pas mieux que Sky, moi ou le professeur, mais il se débrouille vraiment bien.

Une fois le cour terminer, il passa son bras au dessus de mes épaules, et nous sommes allés dans sa chambre. Tandis que moi j'étais sur son lit fixant le plafond, lui était entrain de se laver.

Il sortit une serviette au tour des hanches. Mon regard s'attarda quelques secondes sur son corps, mais ces quelques secondes me permirent de constater qu'il était musclé. Mes joues rougissent d'elle même. Et je baissai instinctivement la tête vers le sol, gêné. Je commençais à avoir l'habitude de ressentir ce sentiment.

Quand je relevai les yeux pour le voir, je le vis avec un sourire en coin. Je ne saurais dire si il est moqueur, si il est gêné ou si il est content. Mais un sourire en coin est présent.

Une fois qu'il fut habiller, bien évidemment quand il c'est changé j'ai détourné le regard, nous nous sommes rendus à la cantine avec comme d'habitude son bras sur mes épaules.

On alla rejoindre Béatrix, mais malheureusement pour moi, elle était avec mes camarades de chambre. Comme à chaque fois qu'elles me voient en compagnie de Riven, elles me lancèrent un regard bizarre, et moi je leur en lançais un qui les firent comprirent que si elles arrêter pas rapidement ça risquais de très mal se passait pour elle.

Je ne mangeais pas, je n'avais pas faim mais en plus de ça, si les sorcières étaient là, elles m'interdiraient de manger puisque je ne fais pas de sport pour dépenser toutes les calories présente dans ce plat.

Riven me regarda bizarrement.

«Pourquoi tu manges pas? Me chuchota-t-il.

-J'ai pas faim c'est tout. Lui répondis-je simplement. »

Il me regarda simplement, mais je pus voir dans son regard qu'on en reparlerai.

Une fois qu'il eu fini de manger, on partit cette fois ci dans ma chambre. Une fois tous les deux installés sur le lit, il se mit à parler:

«-Pourquoi t'as pas mangé à midi? Me redemanda-t-il.

-Parce que je n'avais pas faim, je ne vais pas me forcer. Lui répondis-je.

-C'est pas bien de sauter des repas. Dit-il d'une voix pleine de reproche.

-C'est bon je t'ai dit, c'est pas parce que j'ai rater un repas que je vais mourir. Rétorquais-je.

-Faut que tu reprennes des forces, et sauter des repas c'est pas la meilleure façon de le faire. Enchéri-t-il.

-Putain, mais c'est un truc de fou comme t'es chiant là! M'énervais-je.

-Je suis pas chiant, je m'inquiète c'est tout! Cria-t-il à son tour.

-Eh beh arrête de t' inquiéter, je suis pas un bébé merde! Hurlais-je.

-Caly, s'il te plaît, parle moi. Chuchota-t-il tout en me prenant dans ses bras.»

Je me tu ne préférant rien dire, et je me blottis dans ses bras. Nous nous endormons dans entrelacé pour la deuxième fois. Et comme la dernière, j'ai dormi comme un bébé.

La suite dans trois jours. Bizz Caly