Rapprochement

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PDV Riven:

Une fois toute la couche d'éléments présente sur elle partie, elle se réveilla, et au vu de son regard elle n'avait pas conscience de ce qui venait de se produire.

J'avais remarqué que les blessures qu'elle s'était faites n'avaient pas été soigné. Je préviens la directrice, la porta comme une princesse, et l'emmena dans la serre du professeur Harvey.

Il était là, assis sur une chaise. Quand il me vit, portant Caly pratiquement inconsciente il se leva et me pointa un lit sur lequel je pourrais la poser. Et je le fis sans chercher à réfléchir.

Je lui expliqua rapidement ce qu'il c'était passé, et il partit rapidement chercher les affaires dont il avait besoin pour la soigner.

Quand il revint, il découpa doucement une partie de son tee-shirt de façon à bien voir la plaie présente et pouvoir la soigner correctement.

Il lui appliqua le jus d'une plante, qu'il appliqua sur l'entièreté de la blessure. Les sourcils de Caly se froncèrent.

Puis on passa la griffure présente sur sa hanche. Il me demanda de descendre un peu son pantalon. On pu donc apercevoir la blessure qui était d'ailleurs la plus grave des deux.

Il fit pareil que pour la première blessure. Puis ensuite il recousu les deux blessures, mal grès ses sourcils froncé de douleur Caly ne cria pas et ne dit aucun mot.

Puis une fois fini, j'avançais pour la porter jusqu'à sa chambre, elle me repoussa violemment.

Elle se leva toute seule mal grès les protestations d'Harvey qui lui expliquait qu'il fallait à tout pris qu'elle se repose, et qu'elle laisse cicatriser ses blessures.

Mais elle s'en ficha, elle nous lança un regard noir et elle partit vers son appartement.

Je courus derrière elle, jusqu'à l'attraper fermement par le poignet et la tournée face à moi.

«On essaie de t'aider au cas où tu ne l'aurais pas remarqué! Lui crachais-je à la gueule.

-Et qui vous a dit que j'avais besoin d'être aider. Je n'ai besoin de personne! Je me débrouille très bien toute seule! Me répondit-elle.

-Ouais, tellement bien que t'es pas allez te faire soigné! Tellement bien que tu t'es fait agresser par un griffeur. Tellement bien que tout le monde te déteste. Lui dis-je.

-Sauf que je veux que vous me détestiez, et je t'assure que ce n'est pas deux griffures d'un monstre qui est mort qui va m'affaiblir. Par contre vos point de suture, eux ils vont m'affaiblir.»

Je ne pris pas le temps de lui répondre et parti, elle m'avait saoulé. J'essaye mal grès toutes les rumeurs d'apprendre à la connaître et elle m'envoie balader.

Mais elle m'intrigue, je veux savoir pour quoi elle est comme ça. Une fois arriver dans mon dortoir Béatrix était là et elle m'attendais.

Elle compris rapidement que j'avais besoin d'être seul, alors elle s'en alla. Je m'allume un joint, m'allonge sur mon lit et réfléchi.

Je n'abandonnerai pas, je la laisserai pas tomber. Je veux comprendre pourquoi elle veut que tout le monde la déteste. Quelle est l'utilité?

PDV Caly:

Après que Riven m'ai engueuler, je parti dans l'appartement. Les filles étaient malheureusement là. Elles voulaient me questionner, ça se voyait à leur regard. Cependant je crois qu'elles ont compris que je ne leur parlerais pas.

Je m'installe sur mon lit pour dormir, mais le sommeil ne vint pas. Même Morphé ne veut pas de moi. Alors je me levai. Je ne me sentais pas en sécurité et je ne sais pas comment faire pour avoir la sensation de l'être.

Sans en avoir conscience mes pieds me menèrent dans le salon. Les filles me regardèrent. Et je leur demandais où se trouver la chambre de Riven. Elles me dirent où elle se trouvait avec un petit sourire en coin.

Je ne comprenais pas pourquoi je voulais allez le voir. Peut-être parce qu'il est le seul à vouloir me connaître, à vouloir m'aider et à l'assumer.

Une fois devant sa porte je restai planté comme une conne devant. J'osais enfin toqué à la porte. J'attendis quelques minutes, mais aucune réponse ne vint.

J'allais partir quand il ouvra la porte, il était torse nu, et surtout il puait l'herbe.

Il me regarda les yeux grands ouverts, il devait être étonné de me voir là devant sa porte, alors qu'il y a quelques minutes je l'avais envoyé chier en lui disant que je n'avais pas besoin d'aide.

«Ça y est, tu as besoin de moi? Me demanda-t-il méchamment.

-Riven, s'il te plaît. Lui demandais-je.

-Quoi?! Tu crois que tu peux envoyer chier les gens quand bon te semble alors qu'ils veulent juste t'aider! Puis revenir comme une fleur! Tu n'as besoin de personne, c'est bien ce que t'as dit. Alors casses toi! Hurla-t-il, et au fur et à mesure qu'il parlait, les larmes me montaient au yeux.

-T'as raison, je ferais mieux de partir. Dis-je d'une voix si basse que je ne pense pas qu'il est entendu.»

Je me tournais et une fois de dos à lui, je laissai quelques larmes coulaient le long de mes joues.

Je sais que je me comporte mal, mais j'ai peur, pas pour moi. Si les sorcières venaient à apprendre qu'une personne comptait pour moi, elles se feraient un plaisir de détruire cette personne.

Soudainement, je sentis quelqu'un me prendre dans ses bras.

PDV Riven:

Elle était de dos à moi, entrain de partir. Je ne savais pas quoi faire. Je venais d'agir comme un con. Elle avait fait un gros effort pour venir me voir, et moi je me comportait comme un guignol.

Alors j'avançais rapidement pour me retrouver devant elle. Et ce que ne vis me brisa le cœur. Elle était là, entrain de pleurer à cause de moi.

Je la pris dans mes bras, je la sentis se crisper surement d'étonnement. Puis elle s'accrocha à moi, comme si sa vie en dépendait.

Puis je la porta et ses jambes s'accrochèrent automatiquement à mes hanches. Je la déposa sur le lit, m'allongeai à coté d'elle, mis la couette sur nous. Et nous sommes endormi.

La suite demain. Bizz Riven

Fate: la saga Winx le destin de calyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant