Et cette aimante haine amoureuse, oui, je l'aime.
Le Poète la déteste mais la mendie,
Il l'envie, il l'a vie, la languis, la supplie
Mais il chute vers les abysses du dilemme.Et cette autre folie, égarement d'esprit,
Vagabondes pensées précisées par l'ouï.
Semblable à la haine mais aimée du Poète
La folie l'hante et sonne aux parois de sa tête.Les yeux ne sont qu'une citerne d'innocence.
Ils pleurent toujours, si terne d'inconscience.
Les âmes avortent ma haine intérieure
Et imbibent mes yeux de regards extérieurs.Unis en dualité consciencieuse,
Opposant puis cumulant Folies et Amours,
Je disparais dans une folie amoureuse
Où éclipses et ténèbres forment le jour.