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Il te propose un rendez-vous

Eren Jaëger : 

Tu nettoyais le box de ton cheval quand il était venu te voir, les joues rouges.

-Heu... Y/N ? Dit-il d'un ton hésitant, le regard fuyant.

-Hmm ? Répondit-tu en prenant une botte de foin, ne faisant pas trop attention à sa présence.

-Je, heu... Je voulais te proposer de... Enfin... Toi... Moi... Forêt ? Avait-il dit te regardant droit dans les yeux.

-Oh. Serait-ce un rendez-vous ? Dit-tu avec un sourire mignon.

-Ouais... Si on veut. Répliqua Eren en se grattant l'arrière de la tête.

Tu semblais réfléchir à sa proposition. Tu n'avais plus rien à faire, tu avais fait toutes tes tâches.

-D'accord ! Je suis libre.

-Super ! On se retrouve en fin d'après-midi ? 

Jean Kirstein : 

Il t'avais demandé si tu voulais faire le tour de garde avec lui.

-Hey ! Y/N ! 

-Quoi encore ? 

-Ca te dirais de faire le tour de garde ensemble ?

-Si on prend le premier tour alors.

-Pas de problème ! 

Tu remarquais qu'il rougissait alors tu releva sa gêne apparente.

-Un problème Jean ? Tu rougis.

-Quoi ? Nan. J'ai juste froid.

-C'est l'été. Dis-moi... Dis-tu en plissant tes yeux, t'essaierais pas de passer du temps seul avec moi ? D'où cette proposition ?

-Ah ! Pas du tout ! Ne crois pas moi que une fille comme toi m'intéresse !

-Mouais c'est ça. Si tu le dis. Dit-tu avec un sourire en coin. 

Livaï Ackerman : 

Il t'avais "ordonné" de rester avec lui pour remplir des papiers car il était "débordé".

-OÏ, Y/N. Ne part pas, j'en ai pas fini avec toi.

-J'ai d'autres choses à faire Livaï.

-Viens m'aider.

-Je te demande pardon ? Dit-tu étonnée.

Livaï n'avait jamais besoin d'aide, c'était étrange mais il avait toujours cet air stoïque. Impossible pour toi de déchiffrer les traits de son visage.

-J'ai beaucoup trop de rapports à remplir, ça va me prendre toute la nuit si je suis seul alors je t'ordonnes de m'aider.

-Tu sais qu'on a le même grade, je n'ai pas d'ordres à recevoir de toi. Mais je vais le faire quand même, t'a tête me fait pitié.

-Tch. La ferme. Pas besoin de parler autant si le résultat revient au même.

-Oui, oui... Donc... Je m'assoies où ?

-Hors de question que tu viennes sur moi. Prend la chaise là-bas et met-toi en face de moi.

Tu t'exécutas en essayant de cacher ton sourire, ce qui se passait ne ressemblait pas du tout au Livaï que tu connaissais. Une fois en face de lui tu commença à remplir les nombreuses feuilles sur le bureau de ton ami. Il te regardait en silence, penchée sur ton travail avec ton air sérieux semblait avoir de l'effet sur les battements de son cœur.