Beating Hearts

Untitled Part 11

Naya :

Je rescusita tel un mort-vivant , toujours partager entrer les deux mondes, celui des rêves et de la réalité je me demandai seulement, si la veille avait été réelle ou simple songerie, mes faibles paupières gagnaient d'aphasie, à cause de ses fines lamelles de soleil qui venait me les brulait puissamment . Mais malgré la douleur que me procurait celle-ci j'ouvris mes yeux avec delicattesse et prudence parce que oui , j'aprehendais le moment ou ma vue se posera sur chaque partit de la salle et le rencontrera, j'appréhende aussi le moment, ou je pourrais enfin distinguer les choses mais malheureusement ne retrouvera pas même une once de sa présence, de toutes les manières cette crainte m'hantera jusqu'à que j'agisse, une des situations s'opera, et je la redoute de toutes mes forces, une fois les yeux ouverts, je ne retrouvais rien, mes sentiments et réaction on était fractionnés en deux partis pris d'un puissant soulagement et d'un dessespoire venant d'une raison totalement inconnue, je me rapppellas de chaque instant, son visage angélique, une chevelure couleur de paille, des yeux oceanique et abyssaux, son corps svelte et sa taille ne si bien sculpté que je pus analyser l'hors de ce contact ou j'eusse reussi à espionner avec toute dissimulation de mon acte ,son regard, imposant, perçant, noir, illucide , strict et à la fois plein de drousseure et d'attention, l'effleurement de mon cou par ses délicates lèvres pulpeuses qui créé en moi de multiples frissons tout aussi profond l'un que l'autre , sa posture écrasante , désavantageuse pour ma part, si proche ... Sensuelle, desequilibrante, qui me désarmer totallement , je me sentais impuissante, irrespencable de mes actes, contrôler, son souffle lourd et chaud s'écrasa sur ma chere deja bien assez penetrer par des nombreuses ondes et eu bien une sorte de spasme, vous savez la sorte de contraction musculaire brusque et involontaire, je l'eus au contact de sa drousse peau, non d'horripilation mais de passion, sa respiration, ce souffle qui de sa bouche en ressortait à chaque fois que sa voix mélodique lancer un mot, m'étant destiné, je le voulais, non . Plus que ça . Je le désirais . Follement, prise d'un sentiment d'ardeur j'en étais devenu epperdument singler, mon crâne me faisait mal et me supplier de ne plus y penser mais grâce à lui chaque recoin de ma chambre était devenu soudainement plus important, car à mes yeux ,sa présence ici, avait fait de cette place, un endroit symbolique, la venue de cet inconnu , cet étranger avait tout bouleversé, il avait remodelé l'ancienne vision que j'avais de toute ma demeure elle devenait précieuse . J e me positionna de façon à que je puisse me sentir à l'aise, je respire un bon coup me laisse encore un peu me ressaisir , puis je me lève et m'en vais.

LuI:

Elle , vien de se réveiller, la beauter de son visage de son être tout entier , me rend plus heureux, je ne sais comment Elle a reussi à me procurer un tel sentiment puissant, je la contemplais de loin , La laissant croire la possibliter d'un quelconque reve , parce que je ne voudais aucunement qu'Elle sache une chose sur mon existence, je repense à ma maladresse, et mon acte maladroit,  aurait pu    douter, ou encore, s'apercevoir de mon existence, déceler, et trouver des fintes, jusqu'as découvrir mon existence, je ne pourrais me l'excuser car Lui faire part de mes jours l'amènerais à lui faire part de mes difficultés et ennuis, je ne voudrais qu'Elle coure quelconque danger, surtout si j'en saurais la cause, je ne comprends pas d'où vien la nature de cet attachement de ce sentiment de devoir, un devoir oui, une nécessiter de prendre soin d'elle de La savoir en bonne senter, de la savoir en securiter . Je la vois puis bouger, à quoi peut-t-Elle bien penser, à moi peu être ? ou autres, Elle rebouge, regle sa posture, elle ses leve, et je La regarde, s'évaporer, disparettre lentement, un peu plus à chaque pas, et puis une fois que je ne pouvais plus la distinguer d'où jee me tenait , c'est-à-dire percher sur une épaisse branche d'arbre , je m'en vais aussi..

Naya :

j'avais copletement oublier qu'aujourd'hui était un grand jour , oui parce que notre équipe de foot jouera contre les Anglais, c'est un tournoi très important aux yeux de tout le lycée à ce qu'il paraît et Em'e fait partie des PomPom girls donc je me dois d'être à l'heure, en avance même, et surtout en aucun cas absente, même si pour moi, voir des filles bouger leurs corps et derrière et voir des " Mec ce foncer l'un contre l'autre ne m'intéressais aucunement , je devais y aller ... Dieu que t'ais je fais, je le dis en le marmonnant à cette remarque de ma part, je roule mes yeux, et continu, arriver en bas ma merem'attend de bonne humeur à ce que je vois, elle se dirige vers moi, le sourire collé sur son visage, et un regard émerveillé,malgré la fatigue et les cernes qu'elle avait, j'avais compris qu'elle était existée à l'idée que je sorte je lui jette un petit sourire , et oui c'est vrai que je prefere m'enfermait dans ma chambre à écrire ou encore écouterde bonne musique, avec soi compagnie EM', restant cloitré dans mon monde ireele et libre en fumant un coup aulieu de sortir  , ma mere sait que je fume mais rarement, pour laisser sortir le stresse, je sas qu'elle mere, haha mais je l'aime, je trouve qu'elle est forte et bien courageuse, delever un humain a elle seule, parce qu'elle eleveune femme aussi, une âme, une fille, un être, et c'est dur bien sûr, de devoir accepter chaque caprice, de devoir supporter les pleure, les peines et les innombrable crises , tout ça, c'est dur et horrible, je n'en rêve nullement le vivre , bref, après toute la corves matinale, j'appelle ça comme ça, j'embrasse le front de ma mere , et puis lui fait un signe d'enrevoir elle me le rend e souris puis mime un ''bonne journee '' je prend mon monteaux puis mon sac et sors .

  Et me lance dans une course folle , pour arriver a temp a l'arrét de bus .