Chapitre 6

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tout ceux chamboule dans ma tête je n'y comprenait rien. Qu'est-ce que je venais de faire. Pour quoi lui, Pour quoi Moi.
Qui paierai cette argent. J'étais là mais mon âme n'y était pas.

Rindo appel la base.
Une fois remontée en voiture

Rindo : y/n ?

y/n : hum

Pensée : Pourquoi ? Pourquoi devait t'il autan d'argent à Sanzu ? connaissait t'il sont identité ? savait t'il qu'on avait un lien de parenté ?

Le trajet ce fait dans un silence morne

Le chauffeur nous laisse devant une immense villa.

Rindo : Voici ou nous séjournerons durant ces 3 prochain mois .On change de maison environs tout les 3 mois pour évitée tout problèmes.

On rentre dans celle ci elle est magnifique

Rindo : on est 7 à i vivre avec toi 8

y/n : Je veux juste parler à Sanzu

Rindo : tu veux que je t'accompagne à son bureau ?

y/n : oui

Rindo : mais tu na pas faim ?

y/n : non
Il m'accompagne jusque son bureau. Mais personnes

Rindo : Il est peut être dans ça chambre. Tu peux aller le voir demain

y/n : Demain ? Montre moi où ce trouvent ça chambre.
Rindo m'accompagne jusque celle ci
Je ne toque même pas. Et y rentre Rindo s'en va
Cette chambre est immense. Comme tout les piece ici d'ailleurs.

y/n : Sanzu !
Je l'interpelle plus d'une fois il ne répond pas.

Pensée : Les murs de cette chambre doivent être insonorisée .. Il prend peut être son bain

NDA : 😏

Je sort donc de cette maudite chambre. Mais je ne me souviens plus exactement d'où ce trouve son bureau. Plusieurs des murs de cette villa son en verre. J'avais donc vu sur l'extérieur depuis le troisième.

Pensée : J'ai besoin de réponse à mes questions et ça ne peut attendre

J'ai fini par retrouver mon chemin.
Je détache mes cheveux me recoiffe un peu.
a la seconde où je souhaite ouvrir la porte elle s'ouvre sur Kokonoi Kakucho et Sanzu

Kakucho : Tu a donc réussit ta mission
J'attrape Sanzu par le poignet et le monte jusque son bureau. tout ceci sans un mot
Un peu surprit mais ne s'y oppose pas

Sanzu : Qu'est-ce que tu veux ? peut être t'a chambre ?

Je suis rentrée dans une pièce au hasard je dirais une salle de jeux
Je ferme la porte avec mon pied sort le pistolet de ma poche et le lui enfonce dans la bouche. je le pousse brusquement ceux qui le cogne à la porte de celle ci

y/n : c'était mon frère. J'ai tué mon frère, Tu le savais ça ? Je l'ai abattue.
Son air était passée de moqueur à complément choquée.
Je le regarde dans le blanc des yeux et il fit de même

J'enlève le pistolet et le laisse tombée au sol.
Et je ne sais pourquoi les larmes ce mettent maintenant à couler le long de mon visages Mais elle ne ce stop plus.

Pensée : Je suis vraiment au bout du rouleau je pourrai jamais me pardonner je viens quand même de tuer mon frère de sang que j'aimai tant
Je cale ma tête sur son torse il place son menton au dessus de la mienne. Je me contente de laisser couler ces quelques larmes sans émotions pourtant.
On a du rester comme ça au moins 30 minutes avant que la dernier larme perle sur ma joues. Il la sentie. Il passe ces mains derrière mon dos et me serre fort contre lui.
et me dit à vois calme

Sanzu : tu va devoirs travailler pour moi et autan de temps que tu me devra de l'argent car à partir de maintenant tu me dois 250 000€

A cette phrase mon sang ce glace.

Sanzu : et je ne te laisserai partir avant.

Pensée : Je vais devoir travailler toute ma vie pour lui rembourser cette sommes

y/n : pourquoi il te devait autan d'argent

Sanzu : Il a fait quelques chose

y/n : quoi ?

Sanzu : il travaillait pour moi.

y/n : comment ça

Sanzu : Il m'a dit que tu devrai me rembourser que tu tuerai même pour moi

Je relève instinctivement ma tête pour le regarder dans les yeux. ma main toucha instinctivement ces cicatrices.

Sanzu : Mais je ne peux pas te laisser tuer je ne peux pas te laisser risquer ta vie. Alors je trouverai un autres moyen pour que tu me rembourse cette sommes.

y/n : Je le ferai. Je te le jure

Sanzu : Je sais que tu serai prête à faire n'importe quoi pour toi frère c'est un fet mais ,Je voudrai en arrivée à un point où tu serai prête à en faire de même pour moi.

Nos regard ne pouvais maintenant ce quitter.
Cette homme m'intriguer il était mystérieux et à la fois charmant. Il était vraiment beau
Il ce mordait mordait le coin de la lèvre.

Sanzu : Cependant il ce fait tard. dit t'il me caressant  la joue avec l'une de ces main l'autre encore au bas de mon dos.

Il m'accompagne jusque ma chambre puis s'en va.

Cette fille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant