Il ce retournent tousse à part lui
Kokonoi passe à toute vitesse derrière moi. Et me chuchote.Kokonoi : un ,deux et de trois.
Sanzu ce lève brusquement de la table.
Il passe devant moi m'attrape violemment par le bras ceux qui fait tombée les sacs que j'avais en main et sans un mot me monte à l'étage.Depuis le rée de chaussée on pouvait attendre Kokonoi criée " Je le savais " " a votre avis qu'est-ce qu'il vont faire ? des enfants ? maintenant ?? "
y/n : arrête de me tirée comme ça
Sanzu : ferme la.
y/n : Mais lâche moi ça va pas dans ta tête
il m'en mènent jusque ça chambre my lance comme une simple feuille et referme la porte. A double tour
y/n : MAIS T'ES UN GRAND FOU
Aucunes réponses
y/n : TA INTÉRÊT À M'OUVRIR LA PORTE
Toujours aucunes réponse
y/n : TU VEUX PAS M'OUVRIR PAS DE SOUCIS JE VAIS PASSÉE PAR LA FENÊTRE
Sanzu : FERME TA GUELE
y/n : LA TU RÉPOND. TA INTÉRÊT À M'OUVRIR ÇA VA PAS CHEZ TOI ? JAIME PAS LES ENDROITS CLOS TU VEUX JE MEUR
Sanzu : Arrêt de crier je suis juste derrière la porte.
y/n Met un cou dans la porte
Sanzu : Casse ma porte je te casse le cou
Kokonoi : LE CUL OUAIS
Pensée : Dieu donnée
y/n : KOKONOI JE T'ATTRAPE JE TE TUE
Kokonoi : PARDON Y/N
y/n : MAIS POURQUOI TU M'ENFERME DANS TA CHAMBRE
Sanzu : tu veux sortir ?
y/n : BAS OUI
Sanzu : déjà arrête de crier et donne moi le numéro
y/n : Quel numéro ?
Sanzu : du mec
Kokonoi : OH LE JALOUX ! JE VOUS AVEZ DIT QUOI IL VEUT LUI FAIRE DES ENFANTS CES IRRÉVOCABLE
y/n : et pourquoi ?
Sanzu : Donne le moi c'est tout
y/n : j'ai pas envie
Sanzu : tant que tu me donne pas ce papier tu sort pas
y/n : vient le chercher si tu le veut ce contact
Sanzu : passe le papier en dessous et tu peux sortir.
y/n : Je me répète tu le veut bas vient le chercher
Sanzu déverrouille la porte y rentre et s'enferme de nouveaux y/n était assise en tailleur sur le lit
y/n : bas voilà, Tu vois quand tu veut. Mais y'a problème j'ai pas envie de te le donner alors tu va devoir me le prendre de force.
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Cette fille
Fiksi PenggemarUn amour double face qui leurs réserve un sort à double tranchant. J'ai l'impression que rien c'est tout ceux qu'il me reste.