Cette fille

Chapitre 4

quelques années auparavant
point de vu de Mei :

Tv : Qui ce rapelle de ce fait d'hiver produit en 2003 l'histoire d'une jeune enfant éyant empoisonnée et décapitée son frère et ça belle mère. Le plus terrifiant n'étant ceci mais le fet qu'elle et elle même appeler la police les attendant de pieds ferme jouant une mélodie m'accabre les deux tête poser sur le piano.

Pensée : y/n ! C'EST  y/n
Le lendemain :

Mei : A COMBIEN LA COSSIONS POUR QUEL PUISSENT ÊTRE LIBÉRÉE

: On ne libère pas les condamné à mort.

Mei : JE VOUS PAIERAI N'IMPORTE QUEL SOMMES

: Ah oui ?
La plus part des juges étant corrompu.

: Ramener moi 250 000€ et je la libère

Mei : J'ACCEPTE

: Attention vous avez 2 ans.
Mon cœur n'en pouvais plus je venais de m'engager dans quelques chose qui me dépasserai complément mais si c'était pour elle sa n'avait aucunes importance je le ferai.
Elle n'avait pas méritée ceux qui lui arrivait.

3 anss plus tard :

J'avais tout essayée
Pensée : Pour trouver cette sommes d'argents. Il n'y avait plus qu'une solutions.

Dans la ville il y avait quelques éco qui disait que l'un des membres du gang du Boten passait régulièrement ici. Très très reconnaissable.
Je passe à l'heure qu'on m'avait indiquée dans ce restaurant de sushi
Il était bien là. je m'assieds à ces cotée et me commande à mon tour un bol de nouille.

Mei : excuser moi

? : hum

Mei : J'aimerai vous parler seul à seul loin du monde

? : pour ? tu veux ?

Mei : un sujet sensible

? : Ça parle de ?

Mei : D'argent.

? : Et bien enchanter Sanzu.

Mei : Enchatée Mei

Sanzu : Finissons le repas puis nous parlerons dehors.

A la fin du repas on ce dirige dans une ruelle où personnes n'ose mettre les pieds

Sanzu : Donc tu veut

Mei : je ne vais pas passée par quatre chemin ma sœur est condamnée à mort pour avoir décapitée ma belle mère et mon beau frère vous avez peut être entendu parler de cette histoire. Un juge propose de la libérée pour 250 000€

Sanzu s'esclaffer de rire il était maintenant inénarrable

Sanzu : T'es bien culottée tu me demande de te donner le demi d'un demi million par charité

Mei : NON NON JE VOUS REMBOURSERAI

Sanzu : où travail tu ?

Mei : enfaite je suis étudiant
Sanzu prend Mei par le colle.

Sanzu : même après ta mort t'es descendent ceux d'après et jusque la fin des temps pourront pas payer ta dette.