pendant deux 1 mois entier Sanzu ma plus adresser la parole aucunes crise de jalousie rien on parlais travail ! il tenter ne tenter plus rien ..
On croirait qu'il avait finalement fait un trait sur moi et seul Kokonoi et Ran savait à quel point j'en souffrais. Mais quelque part c'est ceux que je l'avais pousser à faire et j'assumai vraiment plus.
Il était indifférent me voyant mettre mes plus belles robes. Et ça me mettais vraiment à bout avec Kokonoi nous avons donc décidé de mener un dernier coup de bluff. Ça passe ou sois ça casse. Je me rend donc son bureau.: excuse moi ? je peux te parler ou t'es occuper
Sanzu : non rentre
Je m'assieds donc en face de lui
: bas enfaite j'aimerai te parler d'un truc
Sanzu : mhh ?
: étant donner que t'es hiérarchiquement mon supérieur je peux que m'adresser à toi
Sanzu : vas-y
: bas enfaite j'aimerai être renvoyer au Q.G et travailler seulement au compte de Manjiro pour quelques semaines
Sanzu : continue
: Je trouve que vivre ici finalement c'est compliqué donc travailler en solo ça serait bien puis pour le compte de Manjiro dans les deux cas ça vaux la même ! étant donner que je te dois plus rien en vraie y'a plus rien qui me force à rester ici ..
Sanzu : parce que tu te sent forcer de rester ici ?
: bas un peu quand même
Sanzu : donc tu veux partir c'est ça ?
: en quelques sorte
Sanzu : mhh, J'en parlerai à manjiro et je te dis
Pensée : il tente pas de m'en dissuadés ?
J'étais complètement perdu dans mes pensées
Sanzu : c'est tout ?
: euh .. bas oui
Sanzu : mh ok ! bas sache que je lui en parlerai, ça devrait le faire normalement
: d'accord.. je vais te laisser
Sanzu : ouais
Je m'en vais donc
Kokonoi : mais je vais lui parler c'est quoi ce raffut .. Il t'aime plus ?
Kokonoi part en furie mais croise Sanzu dans le couloir
Point de vu externe :
Sanzu : c'est quoi ça ?
Kokonoi : de ?
Sanzu : Elle veut partir ?
Kokonoi : HA MAIS OUAIS MAIS TOI AUSSI
Sanzu : comment ça moi aussi
Kokonoi : tu la retient même pas
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Cette fille
FanfictionUn amour double face qui leurs réserve un sort à double tranchant. J'ai l'impression que rien c'est tout ceux qu'il me reste.