I/ Chapitre 7

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Deux jours après, Kacharel et Pascal étaient en train de jouer au chat dans la cour. En courant, Kacharel vit Athéa de loin et décida d'aller la saluer.

Ka: hé Athéa salut.

Mais sans comprendre pourquoi, Athéa la poussa. Et une fois au sol , Kacharel resta sans rien dire pendant que Pascal s'approcha.

Pascal: mais pourquoi tu as fait ça ( en se mettant au même niveau que Kacharel pour la relever).

Athéa : laissez moi tranquille.

Pascal : mais on ne t'a rien fait.....viens Kacharel.

Il s'éloigna avec Kacharel qui elle , ne comprenait toujours pas ce qui s'est passé.

Pascal: tu t'es fait mal?

Ka: non non c'est bon.

Pascal: pourquoi elle t'a poussé ?

Ka: je ne sais pas. Je suis juste allée lui dire salut, et elle, elle m'a poussé.

Pascal: t'inquiète pas....viens il faut rentrer en classe.

Quelques jours plus tard, cette fois-ci, elle est tombé sur Léondre , qui lui, sans se gêner la poussa en disant que c'est pour son ami. Mais Kacharel ne comprenait toujours pas ce qu'elle avait encore bien pu faire.

Et une fois en récré , elle se dirigea vers Athéa qui était seule.

Ka: hé Athéa salut.

Athéa : qu'est-ce que tu veux?

Ka: pourquoi tes amies se comportent mal avec moi?

Athéa: parce que tu m'as fait du mal et que tu vas recommencer.

Ka: je me suis excusée et en plus je t'ai promis que je ne le referai plus.( En l'attrapant le poignet )

Athéa : LAISSE MOI TRANQUILLE.

Son cri alerta ses amis.

Léondre : tu fais quoi ici toi?( En regardant Kacharel)

Ka: rien..

Mélanie : ne t'approche plus d'elle ( dit-elle en poussant Kacharel)

Elle resta là au sol en attendant qu'ils partent.

Et ça continuait tous les jours. Ils l'insultaient et l'humiliaient devant tout le monde sans une raison valable.

Aujourd'hui , Pascal était resté chez lui parce qu'il avait de la fièvre. Donc , Kacharel rentrait seule. Mais elle marchait doucement en boitant légèrement car elle avait mal à la cheville.
Un peu plus tôt dans la journée, Mélanie l'avait poussé et Athéa lui avait écrasé la cheville droite.

Elle décida alors de passer par les buissons pour vite arriver. Mais sans s'en apercevoir, elle était suivi par Athéa et ses amis.

Ka: qu'est-ce-que j'ai encore fait? Pourquoi vous me suivez?( En se tournant vers eux).

Sans répondre , Mélanie la poussa et Athéa mit son pied de nouveau sur sa cheville droite.

Ka: haaaaa..... arrête Athéa. Je suis désolé.( Elle s'excusait pensant que si Athéa faisait tout ça ,c'est à cause du caillou qui l'avait touché ).

Mais au même moment, Léondre la frappa au ventre puis au visage. La jeune fille pleurait mais rien, il ne s'arrêtait pas. Au bout d'un moment, Athéa recula pour se mettre au même niveau que Caroline, qui elle, regardait juste comme d'habitude. Et pendant ce temps, Léondre et Mélanie continuaient à la frapper.

Ka: arrêtez s'il vous plaît( elle le dit en pleure).

Léondre : on arrête que si Athéa nous le demande.

Mélanie : tu veux qu'on arrête ?( En regardant Athéa qui semblait hésiter un moment. Mais qui finit par hocher la tête négativement).

En voyant Athéa dire non, Kacharel ne put s'empêcher d'écarter les yeux ne comprenant pas pourquoi. Mais au même moment, Léondre lui, prit un bois. Il l'attrappa avec ses deux mains et, il mit un coup à Kacharel de toutes ses forces au niveau de son ventre.

Ka: HAAAAAAAAAAAAAAAAAA!

Et une fois qu'il voulait mettre un deuxième coup, un homme qui avait la quarantaine s'approcha.

Homme: HÉ ! MAIS QU'EST CE QUE VOUS FAÎTES ?

Son cri, fit peur les enfants qui prirent la fuite.

En regardant Kacharel, il sut que c'était la fille de l'infirmière Lisa , vu qu'il est dans ce quartier depuis son enfance et que il connaît très bien la famille Johnson. Sans perdre de temps, il la souleva et l'emmena à l'hôpital NEW LIFE DANVER où sa mère travaillait d'ailleurs .

Quelques temps plus tard, il arriva enfin. Il expliquait à l'accueil qui elle était et comment il l'avait trouvé. Sans tarder, sa mère s'approcha avec un docteur et d'autres infirmières. Elle pleura en voyant sa fille ainsi. Elle voulait entrer aux urgences mais, les autres infirmières l'expliquaient clairement qu'elle savait que s'était impossible. Vu qu'elle était trop impliquer émotionnellement...

ARRÊTONS DE NOUS DÉTRUIREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant