Chapitre III / Victoria Reid

13 2 0
                                    


(Ce personnage n'est pas le mien, il est celui de  @HarleysLilMonster )


Londres,  le lendemain, à l'aube


French kid ? Aramis ce senti secouer mais il ne réagissa pas. Hé ! Lève toi Kid!

Aramis ouvrit difficilement les yeux. Qu'es ce qui ce passe, Balafre à gagner ? Je suis mort ? Demanda-t-il à la femme qui était accroupis au dessus de lui.

Elle eu un petit rire. Tu parles de Murfee ? Non il à rejoins ses hommes.

–Tout vas bien alors j'imagine

–On peut dire sa

–Je dois vous remercier alors, Merci Madame ?

Elle hésita et répondit. Reid, Victoria Reid.

–Merci Miss Reid

–Ce n'est rien. Elle plaça sont poing sur sa poitrine et se pencha en avant.

Lejeune homme sentait bien ses blessure, il s'entait son front ouvert sous une bande de tissu qui (à en juger par l'odeur) était couverte l'alcool. Il sentit sa hanche légèrement affaiblie et pensa qu'il avait peut être une côte faillé, voir casser.

Il était sous le feuillage de quelques arbres, allongé sur de la terre meuble, son propre manteau en guise de couverture. Il en déduit qu'ils étaient dans un Parc de la ville.

Aramis tapota ses poches, son pantalon et sa poitrine puis fouilla son manteau. Il ne la trouva pas. Sa montre. Sa précieuse montre.Disparue !

–C'est sa que tu cherches kid  ? Elle fit pendre la montre au dessus de lui.

–Oui et j'aimerais bien la récupérer d'ailleurs. Il essaya de l'attraper mais il fut trop lent et elle la tira avant.

–Pas si vite petit, tu vas devoirs faire tes preuves, dit elle en se levant et faisant quelque pas en arrière tout en restant quand même entre les buissons où ils étaient caché. Aramis pu alors voir nettement la tenu de la femme.

Elle porté une chemise sortie du pantalon avec dessus un gilet noir. Le tout était serrer par une bande de tissu rouge est une ceinture au dessus de la taille. Un pantalon d'équitation avec des bottes hautes. Elle portait un collier ras-de-coup avec un symbole qu'il eu du mal à voir. Une montre argentée pendait du gilet. Le tout était envelopper dans un long manteau noir à capuche qu'elle porté de nuit, même de jour et de beau temps visiblement. Il porta son attention sur ses mains couvertes par des gants de cuire. Mais surtout à sa main gauche, par dessus sa manche, elle portait un gantelet dont les phalanges étaient assorties de pièces métalliques. Le coup devait être plus violent qu'un poing de fer classique pensa-t-Il. Il cru aussi y voir comme un fin canon sur le dessus.

–Et bien si c'est si gentiment demandé ! Il se leva difficilement alors, voyant qu'un combat au corps à corps était peine perdu il prit un bâton en guise d'épée et ce mit en garde.

–Tu veux directement passé au chose sérieuse ? Très bien. Sur ses mots elle glissa un pied sous sa canne qui se trouvais par terre et leva le genou assez vite pour attraper la canne au vol et ce mettre en garde.

A s'est mots et cette démonstration Aramis regretta d'avoir choisi cette option.

Victoria débuta le combat doucement. Tapotant l'arme de son adversaire, une fois l'épaule, une fois le genou. Tout en commentant son geste :''Aller plus vite !'', ''Mais plus haut ta garde !'', ''Trop lent petit !''. Chaque commentaire et chaque coup ne fesait qu'énerver de plus en plus le blessé.

Aramis,sur les nerfs, se senti d'un coup poussé des ailes. Aussi vite qu'il put il rassembla toute l'énergie qu'il avait, il frappa dans la canne de son bâton et utilisa sont élan pour faire un demi tour et adresser un coup de coude à la mâchoire de son adversaires qui n'avait pas vu le coup venir.

Elle recula alors d'un pas et cracha le sang et la salive qu'elle avait en bouche. Bien joué kid.Et bien je dois dire que c'était, elle hésitât un temps et sourit légerment, inattendu ! Aller, tien tu l'as bien mériter. Elle lui rendit la montre et examina sa canne. T'as de la chance, tu ne me l'as pas abîmé...

–Hier soir, dans la ruelle, tu t'es battu d'une manière que je n'avais jamais vu, où as tu appris à te battre comme sa ? Demanda Aramis qui c'était rassit contre un tronc pour reprendre des forces.

–Les Assassins, je l'ai appris au seins de la Confrérie, enfin c'est une longue histoire.

–La confrérie... qu'es ce que c'est ? Demanda-t-il naïvement.

–Pfff, elle sourit de nouveau, aller debout kid je vais t'expliquer pendant que je te ramène cher toi. Elle l'aida à se relever puis à marcher pendant qu'il essaya de la diriger cher Tante Jade. Pendant qu'il marchaient dans Londres Victoria lui raconta toute l'histoire de la Confrérie des Assassins. L'Égypte, La Grèce, Masyaf, Florence, Les révolutions, les templiers, Bayek DeSiwa, Altaïr Ibn-La'Ahad, Ezio Auditore Da Firenze, Arno Dorian, La famille Kenway, La viking Eivor Varinsdóttir, les jumeaux Frye, le credo, ses préceptes, les fragments d'Eden et les différents conseils d'assassins du monde.

–Et tout ça avec seulement trois petites règles ? S'étonnât il.

–Des préceptes, les préceptes sont :

1/ Ta lame ne versera pas le sang d'un innocent.

2/ Montre-toi, mais reste invisible.

3/ Tu ne mettras jamais la Confrérie en danger


–Oui mais tu peux quand même comprendre que c'est difficile à croire surtout pour une personne normale qui s'est pris une méchante dérouiller la veille...

–Crois le ou non mais penses tu vraiment que je raconterais tout cela à n'importe qu'elle personne que j'aurais sauvé. Ils s'arrétérent arriver au bout de la rue de tante jade. Surtout quand cette personne possède sa sur lui. Elle mis le bout de sa canne sur la montre dans la poche d'Aramis.

–Que veux tu dire ? répliqua-t-il interloqué

–Le symbole sur l'avant de ta montre, c'est celui des assassins.Regarde, mêlant le geste à la paroles elle lui montra une broche de sa tenue. Elle et le symbole de sont collier était similaire à la montre du Jeune homme.

–Cette montre n'est pas véritablement à moi, avoua-t-il, enfaîte elle me vient de ma mère.

–Et bien dans ce cas cela signifie bien que ta mère est une assassin Kid.

–Était. Répondit il amèrement.

Elle réflechissa un court instant. Oh sorry je ne savait pas. Elle pencha légerment la tête en guise d'excuse.Je te comprends. Tu devrais rentrer cher toi ou tout du moin là où tu loges.

–Oui j'y compté. Il lui tourna le dos pour partir mais elle lui retint alors le bras.

–Rejoins les assassins ! Dit elle avec conviction

–Pardon ?

–Tu ma très bien comprise, je t'ai vu te battre, tu as du potentiel et si ta mère l'était c'est la suite logique des choses. Si tu ne le fait pas ici à Londres, vas à Paris et trouve le conseil. Si tune le fait pas ils établirons le contacte dans tous les cas. Tu te sentirais cher toi. Elle lui tourna le dos.

–Mais je ne sais où aller et vous ne savez pas où j'habite.

La femme tourna légèrement la tête de manière à ce qu'Aramis ne puisse voir que bas de visage, le reste étant cacher par sa capuche est dit. Mais nous savons où chercher ! Et ne t'avise pas de dire ça aux mauvaises personnes.

Aramis regarda la maison de Miss Raymond derrière lui. Quand il se retourna pour la remercier et la saluer elle avais disparu. Comme un chat,sans un bruit. La reverait-il un jour ? Il ne le savait pas. Il rentra alors dans l'affolement de Miss Raymond et son père à sa vu.

Assassin's Creed : Blue WatchOù les histoires vivent. Découvrez maintenant