Chapitre V / C.G

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Paris,7 Juillet 1880


Après trois jours d'intense réflexion, au point de n'avoir que très peux dormis, Aramis choisi de venir au rendez vous. Ce C.G l'aurait trouver dans tout les cas si il faisait partie de cette soi-disante confrérie d'assassins. Il n'avait donc rien à perdre. Et si cet endroit était publique et fréquenter comme l'avait dit luis il n'avait rien à craindre. Du moins il l'espérait...

L'endroit n'avais rien de particulier. Comme sont nom le laisser deviner sur la devanture rouge, c'était un simple café dans lequel ce joué quelques pièces sur une petite scène en fond de salle. De chaque coté se trouvais une sortie. Sur la droite de la salle des vitres donnez sur la cours du bâtiment. Au milieu de la salle se trouver toutes les tables ce devait être un bon jours car les tables était bondées de monde. La présence d'autant de personnes rassuré un peu notre jeune homme. L'espace des tables était encadrés par une petite estrade aussi haute que la scène. À gauche était installé deux petites niches pour des interlocuteurs plus privés et au fond ce tenait un bar.

Aramis s'avança dans la salle et balaya l'endroit bruyant d'un regard.Dans la première niche il vit une personne encapuchonnée seule pianotant sur la table de ses doigts gantés. Aramis s'avança alors.

–C'est vous ''C.G''? dit t'il posant la lettre sur la table.

L'homme regardât Aramis et sourit à sa vu. Effectivement, Collet Guillaume pour vous servir. Il se leva et sera la main d'Aramis. Et toi tu dois être le fameux Aramis. L'homme paraissait enjoué au naturel.L'homme avait les cheveux court et roux sous sa capuche. Un visage jovial qui laissait montré un peu moins d'une une quarantaine d'années et arborant une épaisse barbe rousse ce caché sous son capuchon vert.

–Vas y assis toi. Il lui fit signe de s'asseoir et ils s'assirent tout les deux.

–Pas trop de papotage s'il te plaît, qu'es ce que je fais là ?Demanda il sèchement pour faire passer le stresse.

–Et bein dis donc tu rentres dans le vif du sujet. J'imagine que tu sais pourquoi tu es là ?

–Les événement de la ruelle à Londres ?

–Voilà ! Tu as de la jugeote petit !

–Comment l'oublier après tout ?

–Mmmh, il est vrai...

–Alors pourquoi je suis là ?!

–Tout doux petit, laisse moi te raconté une petite histoire avant tout... et Guillaume se mit alors à raconter ce que Victoria lui avait dit en rentrant cher sa tante sur les assassins et leurs ennemis à travers l'histoire.

–Merci je connaissais déjà cette histoire.

–Se sera une petite piqûre de rappelle dans ce cas mon chère.

Aramis ce leva alors. Si ce n'est que sa, je peut partir...

–Sauf que vous m'en devait une monsieur Belcourt.

–Je vous dois quoi ?

–Et bien, une histoire pardi ! Je vous en ais raconté une, à votre tour !

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