Chapitre VII / Vagabond

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Paris,13 Juillet 1880


Aramis avait réussi à trouver un toit depuis sa fugue. Il s'était réfugié au café où il aller d'habitude. La patronne était très gentille mais elle ne pouvait le faire dormir dans la cave que quelque jours. Il devait alors quitter sont logis dans la journée.

Il se rappela alors de la proposition de l'assassin roux. Le vagabonds mit le sac en draps sur sont épaule, remercia la propriétaire, la paya et sorti avant l'ouverture pour se mettre en route vers le café théâtre.

Arrivé là il entra dans la salle déjà bondé. S'assit pour commander une bière et une fois celle si finit il prit une des porte sur le coté de la scène.

–EH! Vous là stop ! C'est un accès au personnel !

Il se retourna et vis la serveuse qui lui avait amener sa pinte. Une jeune fille Rousse au visage énervé couvert de taches du même roux que l'assassin prit plaisirs à regarder avec grande attention.

–Vous ne pouvez pas aller par là ! Dis la jeune fille, les mains sur les anches.

–Je suis... un ''habituer'' et guillaume m'attend.

Elle troqua son énervement pour un air plus méfiant.

–Monsieur Collet ? Impossible, il est sortie. Répliqua elle d'un ton sec.

–Oh ! et bien dans ce cas, il sorti sa montre et montra le symbole en répliquant de façons un peu arrogantes, dites moi où je pourrais attendre ?

La fille se raidit à la vu de l'objet et la cacha en la plaquant contre l'homme.

–Vous êtes fous ?! Ne montrez pas sa comme ça ! Le réprimanda elle tout bas. Elle jeta un œil dans la salle, personne ne semblait avoir vu la scène. Elle lui souffla alors un ordre. Aller suivez moi !

Il s'exécuta et la suivi. En passant par un large escalier qui mené à l'étage supérieur.

Aramis brisa alors le silence.

–Donc, comment vous appelez vous ? Vous êtes une... assassin ?Demanda il hésitant.

Elle se tus quelques secondes et répondit froidement.

–Anne Carlier. Je ne suis que la gérante de salle.

–Mais tu connais la confrérie.

–Je travail pour eux mais pas sous une capuche. Il n'y a pas besoin de porter une capuche et une épée pour travailler dans la confrérie.

–Je vois sa. Elle à du caractère pensa il.

Ils arrivèrent devant une porte fermées. Elle mit quelques coup de clé dans la serrure et ouvrit la porte sur une vaste pièce qui semblé être une chambre.

–Voilà, attendez le dans sa chambre. Elle lui fit signe d'entré. Et il suivit le geste.

–Vous savez on n'a commencer sur de mauvaises base , on devrait prendre un verre un jour. Dit il en s'approchant un peu plus d'elle.

Elle le regarda, rougis légèrement et ris

–Vous êtes peut être un beau et grand séducteur mais vous ne comprenais pas vraiment les femmes à ce que je vois. Vous avez l'air de plus les convoiter comme un objet alors qu'on as besoin de se sentir aimer.

–Mmmh, C'est ''oui'' ou ''non'' ? Désoler je n'ai pas vraiment écouter après ''Beau et grand séducteur''. Il sourit de plus belle.

Elle le regarda attentivement et tourna le dos. Mademoiselle Carlier passa la tête par dessus son épaule.

–Je dirais que... c'est un ''peut être''. Et il regarda les cheveux d'automne de la demoiselle s'éloigner.

Aramis sourit avec un égo légèrement renfloué et entra dans la chambre.Il en admira la décoration et les artefacts au mur pour attendre la venu de Guillaume.

Aramis attendis prés d'une heure le retour de Collet, qui entra sans crier gare en sautant, depuis l'extérieur, par la fenêtre.

L'assassin roux s'assit lourdement, couvert de sang, sur le lit de la pièce.

–Pffff, foutu templier, il retira sa capuche et remarqua la présence de l'arrivant et son sac.

Mes hommages, que fais tu ici ?

–Oh ! Euh c'est Anne, Mademoiselle Carlier, qui ma dit de t'attendre ici.

–Anne ? Vous vous connaissez ?

–Non je ne vient que de la rencontré.

–Tu lui as parlé ?

– Seulement des politesses.

– Très bien, attention elle peut s'emporter parfois.

Aramis ne fit pas de remarque oral et garda confidentiel les événements d'il y a une heure. Collet se lava les éclaboussures de sang au visage dans un baquet d'eau et essaya de faire partir quelques taches de sa tenues au savon mais sans succès majeur.

–Donc ! Reprit il âpres son brin de toilettes. Que fais tu ici ?

Aramis lui raconta ce qui c'était passé après leurs séparations. De la lourde dispute avec son père jusque au début de la semaine à s'être retrouver à dormir dans la cave d'un café.

...Et ce Matin je me suis souvenu de ta promesse. Donc me voici la,debout devant toi.

–C'était pour sa que tu es dissipé en entraînement alors. Donc tu veux que je t'héberge ?

–Si ça ne te dérange pas ! Mais dans l'idéal sa serait l'idée.

–Tu ne me dérange pas. Écoute, laisse, tes affaires là je m'arrangerai pour que tu ais une chambre et ballade toi dans Paris et reviens ce soir, je dois faire un compte rendu de ma mission et j'ai encore beaucoup de choses à faire.

– Très bien. Un silence s'installa jusque à ce que Aramis ce souvient de l'allusion de Collet à sa mère le soir de sa fuite des tuileries. Dis moi, tu voulais dire quoi par ''je le dois bien à ta mère.''

–Oh sa... Il s'assit de nouveau sur sont lit. Et bien laisse moi te raconter une nouvelle histoire. Je m'en rappelle comme si c'était hier...

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