je me demande si tu lis encore mes lignes. si tu prends toujours un peu de ton temps pour mes mots comme tu adorais le faire avant.
je ne sais pas si c'est le cas, je ne sais pas si c'est ce que je veux de toi.
c'est un sentiment étrange que de ne plus avoir tes retours sur mes écrits. mais voilà, j'écris trop sur toi, et pour cette raison je ne crois pas avoir envie que tu lises un seul de mes mots désormais.ma douleur est trop grande, bien trop déchirante. souffrir autant devrait être interdit.
toi