s'élever à ce qui semble être la plus belle des choses qui n'ait jamais existé.
souffrir encore de l'amertume du présent qui ne laisse plus de place au fantôme de tes bras;
pour pouvoir un jour être libre des mots qui te sont adressés. tant de haine qui coule à flot dans le sang de mes veines.
on ne m'a jamais menti sur ce proverbe désaemant. il n'y a réellement qu'un pas de l'amour à la haine.
j'ai pourtant cru en tes "je t'aime" mais je n'y ai certainement jamais cru autant qe je crois en ma rage d'anéantir les cendres que tu as laissées, quand tu as disparue dans le vent, sans même un jour rendre hommage aux sentiments incessants qui m'ont submergées pendant toute une année.
je hais la douleur que tu as laissée derrière tes mirages d'amour toujours.
- onze heures dix-sept, dimanche vingt-quatre avril
fantôme