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« Bienvenue chez moi jersey » _________________
Benjamin – Bienvenue chez moi Jersey.
- Merci. Répondais-je en retour au brun qui se trouvait juste en face de moi. Bon tu me fais visiter ton palace ou on reste devant ta porte d'entrée. Lâchais-je en souriant au brun qui me contemplaisde haut en bas.
Benjamin – Hum ça dépend tout d'abord je veux être sûr que tu es contente d'être là. Disait-il ce qui me fit froncer les sourcils.
- Bah oui j'le suis, pourquoi tu me demandes ça ?
Benjamin – je sais pas. Lâchait-il en haussant les épaules la voix tremblante. on sait jamais, je veux pas que tu sois venue ici de force à cause de moi tu vois.
- Mais t'inquiète pas benjamin, tu ne me forces pas du tout et en plus je suis très contente d'être là. Lui disais-je afin de le rassurer. Bon je peux rentrer maintenant ou pas là? Disais-je impatiente en rigolant.
Benjamin – Après vous mademoiselle. Me lâchait-il en souriant.
Et c'est sur ces mots-là que j'entrais dans la maison du grand brun qui allait m'accueillir ici pendant quelques jours. J'avais fini par céder en acceptant l'invitation de ce dernier. Je sais pas si c'est son statut de footballeur qui lui donnait carte blanche mais il avait réussi par je ne sais quels moyens à convaincre ma patronne de quitter le boulot un peu plus tôt que prévu étant donnée que nous étions déjà en août et que je finissais au alentours du dix.
Pendant qu'il était en train de monter mes affaires en haut je contemplais moi de mon côté la maison. Elle était plutôt simple, grande certes mais avec une touche de simplicité sans trop entrer dans l'extravagance. De toute façon de ce que j'ai pu voir chez en lui, ça ne lui ressemblait pas d'être extravagant au contraire même.
Benjamin – Alors tu l'as trouve comment ma maison. Sortait-il de dos ce qui me fit sursauter. Oh désolé je voulais pas te faire peur.
- C'est rien t'inquiète. Soufflais-je en passant ma main sur coeur. J'aime bien ce que je vois. Lui disais-je en souriant ce qui le fit sourire en retour. Ta mère à bon goût.
Benjamin – Je rêve ou t'insinue que j'ai rien foutu là ?
- Non non tu ne rêves pas Benjamin. Disais-je en lui souriant ce qui le fit rire en retour.
Benjamin – J'avoue je me rends. Disait-il les mains levées. Ma mère m'a pas mal aidé dans la décoration, tiens ça tu vois. Disait-il en pointant son doigt vers une plante posée sur un de ses meubles du salon. C'est une fleur-
