Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
« Scandal » ________________
𝓳𝓪𝓷𝓿𝓲𝓮𝓻 2028
Valentin - C'est bon bébé on en parle plus, ça sert à rien de toute façon.
- Si on va continuer Valentin, parce que c'est clairement injuste là!
Valentin - Tu sais très bien comment sont les journalistes de toute façon, toujours entrain de transformer la vérité pour vendre ou faire de l'audience.
- Ah bah chouette pour moi. Disais-je en posant les draps sur le lit. Merci beaucoup Valentin. Il soufflait et riait en même temps.
Valentin - Mais non Grace, tu sais très bien que je parle pas de toi mais des autres.
- T'as dit « les journalistes » aux dernières nouvelles , j'en suis une.
Valentin - Ouais mais toi c'est pas pareil. Disait-il en me prenant par les hanches. Toi, c'est toi. T'es complètement différente. Chuchotait-il doucement à mon oreille avant de me faire plein de petits baisers sur le cou.
Il y a deux semaines, deux jours à peine après la soirée du réveillon je m'étais réveillé en apprenant par mes collègues de travail et par mes proches qu'un article venant d'un magazine gossip me concerner.
J'aurais apparemment très mal parlé à la femme de mon ex et aurais même à un moment donné voulu lever la main sur elle. Totalement faux bien évidemment, j'avais cru tombé de dix étages quand j'ai lu ça. Je savais que je devais me méfier d'elle et qu'elle allait tout raconter à Benjamin, mais de là à tout raconter à la presse à gossip, elle avait fait fort.
Honnêtement je pouvais même pas aller la voir pour lui demander des explications, déjà parce que j'avais pas vraiment de preuves que c'était elle qui avait tout balancé à la presse, et puis ensuite parce que je ne voulais pas rajouter encore plus de problèmes. Il fallait juste que je laisse ce scandale passé un peu et que je tourne la page.
- Mmh, merci de me réconforter monsieur Solano. Répondais-je en gémissant de plaisir.
Valentin - Tu sais très bien que je ferai tout pour faire sourire ma madame. Je me retournai face à lui pour lui répondre.
- Ouais je sais. Je l'embrassais tendrement. C'est pour ça que je t'ai choisi hein.
Valentin - En même temps? Qui pouvait faire mieux que moi à Montréal hein?
