Est-ce que t'y penses? Qu'est-ce que ça te fait?De m'avoir pris jusqu'au dernier morceau du cœur que t'as détruit. De Dadju - Ma vie.
𝕲𝖗𝖆𝖈𝖊 𝕮𝖔𝖗𝖈𝖊𝖑
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
« Ultimatum » _____________________
Point de vue spécial avant l'arrivée du protagoniste ( Valentin )
Grace — Dis quelque chose s'il te plaît...
- Arrête.
Grace — Ça va faire deux semaines maintenant... tu peux pas m'esquiver comme ça, il faut qu'on ait une discussion toi et moi.
- Sans façon, ça va aller. Disais-je en faisant des allers-retours entre la chambre et le salon. À quoi ça sert de toute manière? j'ai appris que j'étais cocu depuis des mois dans la presse, pas besoin d'explications de ta part Grace.
Grace — Oui mais moi j'ai besoin de te parler Valentin. Je soufflais.
- Arrête Grace, j'ai pas envie de m'énerver pour rien et de dire des choses après que je vais regretter. Disais-je en m'arrêtant.
Grace - Je suis tellement désolé Valentin. Je riais nerveusement afin de couvrir les quelques larmes que mes yeux s'apprêtaient à me livrer. Regarde-moi dans les yeux s'il te plaît. Disait-elle d'une petite voix voyant que je me tournais dos à elle. Je ne voulais pas te faire de mal,dis-moi quelque chose... s'il te plaît. Je soufflais.
J'étais complètement détruit, deux semaines maintenant que la nouvelle avait éclaté de partout. J'étais vu par la presse et par les autres comme le cocu de service, la roue de secours ou encore celui qui servait de pansement.
J'avais mal, j'étais partagé entre la haine et l'incompréhension. Je savais que Grace avait vécu une belle histoire d'amour avec Benjamin, mais je pensais qu'elle avait réussi à tourner la page. Qu'elle avait pu se reconstruire, que c'était moi sa belle histoire d'amour et surtout l'homme de sa vie.
- Tu sais c'est quoi le pire dans tout ça?Disais-je avant de reprendre. C'est que malgré tout ça... j'arrive pas à t'en vouloir réellement-
Grace - Tu dis ça sous le coup de l'émotion Valentin, c'est pas vrai...
- Si grace. Répondais-je d'un ton ferme. Je le pense vraiment...malgré le mal que tu m'as fait, j'arrive pas à te haïr. Mes sentiments sont plus forts que ça.
C'était vraiment bizarre, en temps normal j'aurais dû la haïr de tout mon coeur de m'avoir trahi, mais je n'y arrivais pas. Je n'arrivais pas la détester, mes sentiments envers elle étaient trop puissant, étrange sensation.
