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Dans un palais des plus magnifique au monde.

Une jeune femme se promener dans les couloirs son but.

Elle était simplement habillés d'un t-shirt noir ou était imprimé un serpent bleu recouvrant une rose rouge accompagné d'un jogging de la même couleur.

Elle avait une casquette ou se dépose dessus une paire de lunettes de soleil.

Ses longs cheveux noir lui arrivant en bas de la taille était attaché en queue de cheval haute.

A chaque pas de sa part ses longs cheveux se balançait de chaque côté.

Elle marchait en admirant ses gravures magnifiquement décoré par des pétales de roses en or disposé un peu partout sur le mur.

Elle regardait admirative des personnes qui devrait habitait dans se vaste château ou la décoration était particulièrement belle et encore se dit elle, elle avait vue que les pièces ouvertes au public.

Les décorations date sûrement du 19 ème siècles se dit-elle.

Elle continuait de marcher quand elle entendit un bruit inhabituelle qui se fessait de plus en plus fort au fur et à mesure qu'elle approche du coin interdit au public.

Elle ne fesait pas attention à l'interdiction de passer.

Et continua d'avancer jusqu'à entendre un cri de bébé.

Elle continua d'avancer jusqu'a que le bruit se fesait plus égu.

Elle arriva devant un salon qui devait faire le triple de son appartement.

Caché derrière un carton un berceau se trouvait parmis les décombres.

Une petite fille qui devait avoir 2 à 3 ans d'une beauté inégalable.

Elle était habillés d'une salopettes bleu marine ou la poussières se voyait comme le nez au milieu de la figure.

Elle avait de longs cheveux rouquine qui virer au jaune or au soleil.

Elle l'a pris dans ses  bras pour la calmer se qui marcher.

Quand un longs bruit en continues se fessait entendre dans l'allée plusieurs garde armé jusqu'au dents se diriger vers elle, elle eu à peine le temps de se retourner qu'une arme froide se potionnant sur sa tempe.

Mais ce qui lui fesait le plus peur ce n'était pas ce bout de ferraille qui pouvait mettre fin à sa vie d'un coup de pression mais plutôt l'origine de la personnes ou plutôt le  diable en personne qui tenait cette choses.

L'enfant qui se trouvait dans les bras de cette jeune femme et qui avait arrêter de pleurer c'est remis d'une fraction de secondes.

-c'est vous? Avais t-il dit d'un ton froid.
-moi?...je ne pense pas vous suivre la.
-c'est vous qui avais kidnappé ma fille.
-hein? Comment ça j'ai kidnappé personne.
-si vous le dites si bien qu'es que vous faites avec ma fille.
-je peux très bien vous expliquer le pourquoi du comment je suis avec votre fille à une condition.
-vous pensez sérieusement que vous êtes je suis en état de discuter avec vous.
-ma seule condition que je demande c'est que vous arrêter de crier parce que j'ai pris  dix ans à la faire taire si vous mettez sa va pas le faire et que vous enleviez votre arme pour essayer de parler comme des personnes civilisé.
-je pense sérieusement que on plus de kidnappé ma fille vous ne savez pas compter la sa fais deux.
-déjà je peux jurer sur... sur ma vie que je n'ai en aucun cas kidnappé votre fille et je sais compter c'est juste que le premier point je le pensais normal en tant que père de vouloir que le bien pour sa fille la faire pleurer parce que il ne sait pas contrôler sa colère n'ai pas une bonne choses,mais à près c'est ce que je pense vous faites comme vous voulez après.
-comme vous dites je fais comme je veux.

Elle le dévisager longuement avant de reporter son attention vers l'être qui se trouvait dans ses bras.

-alors ?
-alors quoi?
-vous pouvez s'il vous plaît poser cette arme qui fait peur à votre fille ou se serai trop vous demander.
-vous savez que vos propos envers ma personne pourrait vous coûter la vie.

Elle vie rouge était -il prop inbue de lui-meme pour se donner autant d'éloge, elle ne fit guère attention et se retourna vers la beauté qui c'était endormi dans ses bras.

Elle lui embrassa le haut de son crâne avant de se lever, ses longs cheveux danser derrière son dos.

Elle respira un gros coup avant de se décider de rendre cette beauté à son propriétaire qui était autre que son père.

En effet, celui-ci avait décider de se taire  et de enlever le glock-17 qu'il avait potionne sur la tempe de cette dernière.

-pourrais-je avoir ma fille,demanda t-il d'une voie désespérante mais tout aussi froide.

Elle respira une dernière fois le parfum que cette être d'une beauté sont pareilles dégagée avant de lui rendre sa fille.

Il prit sa fille dans ses bras, et huminifiat son odeur pour se rassurer que sa fille se trouvait bien dans ses bras.

Tout les possibilités et les inquiétudes qui le possède des minutes plus tôt se sont évaporé au contact de cette créature.

Il reposa son regard sur la jeune femme qui se trouvait sous ses yeux.

-alors quels sont vos explications pour avoir été avec ma fille.
-laisser tomber

Enterlocute de son abondance soudaine il  reprit:
-je vous demande pardon, ou et passé la confiance qui m'avez autrefois éblouie.

Cette dernière écoute d'une oreille ce qu'il raconté trop occupé à gronder son amis qui lui avait mis faux bond.

Remarquant sont désintérêt pour sa personne celui-ci prit plaisir à la taquiné

-vous voulez être jetait en prison plus tôt que de m'expliquer ce que vous fesait avec ma fille?

-hein? ... ho pire faites comme vous voulez mais la j'ai un rendez-vous alors salut. Disa t-elle avant de partir sous le regard choque et surpris de sa franchise.

Bonjour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant