~Intrusion~

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 - Vas te faire voir.

Mon ton cinglant fût vite réprimer par une gifle monumentale qui fit partir ma tête sur le côté.

- Ne m'insulte plus jamais. Cracha t'il en balançant la boite contenant les dernières informations qu'il avait récupéré.

Ces dernières étaient dites « secrètes » ou encore « sous cachet confidentiel » en gros une pile d'ennuis sur pattes. Et ce malade au prénom irritant me demandais de recopier à l'ordinateur les quarante pages recto verso en trois jours. Je massa d'une main ma joue alors que la montagne descendait rapidement les escaliers, je ne lui servait que d'esclave. J'avais apprit qu'il y avait des caméras un peu partout ici, même dans la salle de bain, furieuse de ne pas avoir était mise au courant je m'étais muni de la première arme à porter de main.

Une fourchette.

A grand coup de fourchette, enroulé dans une serviette et les cheveux pleins de mousses j'avais grimper sur une chaise pour toutes les détruire, ce qui n'avais, bien évidemment pas plus à mon bourreau qui était venu me passer un savon. Il me restais deux jours pour me décider à abandonner ma mission principal. Et pour l'instant, je n'avais qu'une envie, balançais tout ce que j'avais appris sur ses actions à mon commanditaire.

- Grand malade ma parole.

Furieuse, je m'observa dans le miroir, les bleu autour de mon cou avaient noircies, me donnant l'air d'une rescapée ayant échappée à la mort par pendaison du moyen-âge. Je souffla en voyant la trace rouge se dessinée en même tant que ma joue qu chauffait vraiment beaucoup. Comme une brûlure à vif, je pris un gant et le trempa d'eau froide avant de l'essorer et de placer ce dernier sur ma joue. Je retourna dans le salon en bougonnant, ouvrant l'ordinateur, je passa commande à un livreur de pizza.

A mon grand malheur, je n'avais pas accès à l'extérieur, je devait me contenter de la vue fabuleuse que m'offrais la hauteur de ce balcon au deuxième étage. A ma première commande, j'avais trouvé les codes de cartes bleu de mon « employeur ». Par une envie de l'emmerder bien profond après le massacre à la fourchette, je m'étais commander un restaurant gastronomique à emporté. Je me l'étais fait livré, en payant le supplément pour la livraison et j'avais laisser un énorme pourboire à ce livreur des plus téméraire qui m'avais aider à créer un système de poulie pour faire remonter mes commandes.

Eh oui, il ne fallait pas m'enfermer Cole.

Je pris les énormes coussins de plus de un mètre cinquante et m'affala dedans, le balcon possédait un garde corps en verre, c'était alors devenue mon lieu de travail préféré. Les guirlandes avec des luminaire en forme de boule venait également d'une livraison que j'avais faite en trouvant ses codes. Installée dans cet endroit très cocooning, je posa l'ordinateur sur mes jambes à découvert. Étant donné que Atos ne me gratifiais pas de sa présence, j'en profitais pour me promener en short en coton court et en débardeur, me mettant dans un confort des plus agréable.

Le livreur de pizza sonna et je me leva en passant le haut de mon corps par dessus la rambarde.

- Bonjour monsieur ! Pouvez-vous mettre le repas dans le panier qui vas descendre s'il vous plaît ? Demande ai-je en décoinçant le mécanisme qui glissa jusqu'en bas.

- Bonsoir mademoiselle ! Aucun soucis ! S'exclama t'il en posant ma pizza. Je vous souhaite un bon dîner ! Me salua t'il en s'éloignant après que je lui ai fait un signe de la main.

Je rentra rapidement, abandonnant mon ordinateur sur le sol du balcon, je m'installa sur le canapé et mis un film d'action. Une fois les lumières éteintes, je dégusta ma pizza au chèvre avec les yeux absorbé par l'écran. Une fois mon repas engloutit, le film se termina, à deux doigts de tomber dans un sommeil réparateur, j'éteignis la lumière, me plongeant dans une atmosphère sombre. Je ferma la porte coulissante du balcon et seul la lumière très faible de l'aquarium illuminait le salon. Je grimpa les marches et entendit une pile de papier tomber dans le bureau, j'alluma la lumière du couloir avant de m'arrêter devant la porte du bureau. La tête dans les vapes, je ne pris pas la peine d'allumer le plafonnier et ramassa la pile de facture qui était étaler par terre devant le bureau. Je ferma ensuite la fenêtre entre-ouverte et bailla à m'en décrocher la mâchoire avant de partir dans ma chambre que je ferma à clef.

Feu Ardent - Êtres étoilés /TERMINÉE\Où les histoires vivent. Découvrez maintenant