PRINCESSE Amara: POUR L'HONNEUR DE LA TRADITION

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Elle marcha seule à travers les ruelles les yeux brouillés par ses larmes.

pleurant de tristesse mais aussi d'angoisse

Angoisse parce que l'état de santé de son père ne semble pas s'améliorer

De tristesse parce que la personne dont elle est amoureuse est celui-là même la cause de tout ses malheurs.

Une fois en ville 🌃, elle se trouva un 🏨 pour la nuit

Réceptionniste : tenez madame vous avez la chambre numéro 34

Amara :merci

Elle la regarde avec insistance d'ailleurs elle n'était pas la seule.

[•••]

Adorah : ou es-tu Amara je m'inquiète pour toi

- je vais bien ma sœur je suis dans un hôtel de la ville demain je retourne à la maison

Adorah:oh tout-puissant tu sais bien que ce n'est pas très prudent surtout par rapport à ta position sociale

Amara : je.......

Adorah : assez! Je viens te chercher

Amara :non mais...

Adorah : pas de mais qui tienne envoie l'adresse par message j'arrive.

Le téléphone raccrocha avant même qu'elle ne puisse refuser.

Une heure plutard, la reine adorah arriva sur les lieux
Elle ordonna à ses hommes d'aller la chercher.

Amara : vraiment tu abuses

Adorah : pas question que ma sœur passe la nuit dans un endroit pareil

Amara :hum

Adorah: j'ai parlé à notre mère, père ait hors de danger maintenant

La reine d'arène lâcha un souffle de soulagement.
Son père allait mieux et cette nouvelle la reviva le cœur

Arrivé à azar, elles furent accueillis par le roi en personne ainsi que certains servantes

Hussein : très chère quel plaisir de vous revoir

Amara : beau-frère

Elle le salua familièrement avant qu'il ne les entraîne dans le salon privé

Adorah se laissa aller sur le canapé en touchant son gros ventre de maintenant 6mois

- je n'arrive toujours pas à croire ce que assad lui a fait

Hussein: je vais lui toucher quelques mots

Amara : non surtout pas tout est déjà clair dans ma tête

Adorah: il doit répondre de ses actes sinon que diront les gens sur.......

Amara lâcha un rire nerveuse avant de reprendre

-SÉRIEUSEMENT ADORAH JE VIENS DE ME FAIRE LARGUER PAR MON MARI ET TOI TOUT CE QUI T'INTÉRESSE C'EST LA RÉPUTATION, L'AVIS DES GENS TU SAIS QUOI ILS PEUVENT PENSER CE QU'IL VEULENT J'EN AIT STRICTEMENT RIEN À FOUTRE

elle quitta ensuite le salon en furie pour rejoindre la chambre qui lui a été assignée

Hussein : était-ce nécessaire de lui en parler

Adorah: ok c'était pas cool de ma part mais je m'inquiète pour ma petite sœur Hussein, elle parait normal mais je sais qu'elle souffre et tout ça à cause de ton ami

Le roi leva un sourcil en l'air puis reprend

- le assad que je connais n'aurait pas pu commettre cette acte, il l'aurait sûrement jeter en prison avant de la bannir définitivement de ses terres. S'il ne l'a pas fait c'est parce qu'il  tient à elle